samedi 15 janvier 2011

Sommaire

vous pouvez vous renseigner et commander à fransya@fransya.com ou au 02 43 84 55 06

-1°- Descriptif de la méthode

-2°- "foire" aux questions

-3°- témoignages de parents, d'enseignants et d'orthophonistes

-4°- bilan d'évaluation proposé en fin de CP (ou en fin d'utilisation de la méthode)

-5°- échantillons de résultats obtenus au bilan d'évaluation

-6°- justifications théoriques de la méthode : voir
http://cerveau-et-lecture.blogspot.com/

-1°- descriptif de Bien lire, bien écrire - la méthode alphabétique et plurisensorielle Fransya


































Bien lire, bien écrire










La méthode alphabétique et plurisensorielle Fransya






(composée d’un « volume de l’élève» et «d’un volume du maître» )






un outil pédagogique complet facile à mettre en œuvre par les parents ou les enseignants






Édité par les éditions Eyrolles







-1- La préparation (ou l’accompagnement) de l’apprentissage




Plus la qualité des circuits cérébraux de l’expression orale est bonne au moment de l’apprentissage de l’écrit, plus cet apprentissage est facilité. Il est donc très important de beaucoup parler à un enfant, de beaucoup le faire parler et de lui faire pratiquer de nombreux exercices adaptés afin de développer ses aptitudes à discriminer les sons.






Les facultés cérébrales en matière de reconnaissance des formes et de leur orientation dans l’espace constituent l’autre pilier sur lequel repose l’apprentissage de la lecture. Il convient donc d’en disposer le plus tôt possible avant d’aborder celui-ci. Là aussi de nombreux exercices permettent d’atteindre cet objectif.






De même, pour écrire, les capacités à tenir un crayon et à contrôler de plus en plus précisément les gestes de la main sont indispensables. Elles s’acquièrent par des exercices graphiques mettant en place les circuits cérébraux concernés.






La méthode vous indique comment faire pour préparer (ou accompagner) l’apprentissage de la lecture et de l’écriture.




-2- L’apprentissage proprement dit




Lecture : On respecte le fonctionnement du cerveau en enseignant l’un après l’autre chaque son (ou phonème) et « sa transcription écrite» (ou graphème) correspondante.






Cet enseignement de chaque couple phonème/graphème se fait de façon très approfondie en utilisant tous les moyens possibles permettant de bien « imprimer dans l’hémisphère gauche du cerveau» l’association phonème/graphème et la forme de chaque graphème (utilisation de lettres rugueuses, de gestes dessinant le graphème dans l’espace, de lettres mobiles). C’est pourquoi on peut qualifier la méthode de plurisensorielle.




On ne propose à l’enfant que des textes dont les couples graphèmes/phonèmes sont déjà connus de lui ce qui n’empêche nullement d’enrichir rapidement son vocabulaire et de lui présenter des textes intéressants (l’ordre dans lequel les graphèmes sont enseignés a été choisi pour atteindre cet objectif). Ainsi l’enfant ne sera jamais confronté, au détour d’une phrase, à un graphème qu’il n’a pas appris. D’autres précautions sont prises pour optimiser l’apprentissage (choix d’un graphisme noir sur fond blanc car c’est le meilleur contraste pour notre système oculaire, pas de mots se terminant par une lettre muette afin d’éviter les pièges de l’orthographe d’usage alors qu’on en est seulement à la phase d’acquisition des mécanismes de la lecture, pas d’images de façon à concentrer l’attention sur les textes et à éviter toute tentation de s’inspirer de celles-ci pour « lire », choix pour les lettres « du livre » et celles « du cahier » de caractères courants et identiques durant toute la méthode). Enfin l’apprentissage de la lecture s’accompagne d’un travail d’enrichissement du vocabulaire ainsi que d’un entraînement à la reformulation et au résumé des textes lus pour s’assurer de leur compréhension et contribuer au développement des facultés d’analyse et de synthèse.






Écriture: Associer l’apprentissage de la lecture et celui de l’écriture est un impératif pédagogique car ces deux acquisitions se renforcent mutuellement du fait des interactions des circuits cérébraux utilisés pour chacune d’elles. C’est pourquoi la méthode les intègre afin qu’elles soient menées simultanément. Elle s’attache donc à associer à chaque étape de l’apprentissage de la lecture comme décrite ci-dessus une étape de l’apprentissage de l’écriture. Celle-ci comprend une séquence de copie sur un cahier d’écolier classique puis une séquence de dictée. Cette dernière consiste pour l’élève à retranscrire par écrit des mots ou des phrases dictés par le «maître» ne comportant pas de pièges mais introduisant progressivement les premières bases de l’orthographe. Elle est particulièrement révélatrice de la solidité des acquis en lecture.




Si la méthode est utilisée régulièrement et de façon rigoureuse (respect de toutes les consignes du «livre du maître») l’enfant saura, à la fin, lire et écrire. En outre cette pédagogie qui contribue à la structuration de la pensée conceptuelle (abstraction, raisonnement, analyse et synthèse) constitue une aide majeure dans la stimulation du développement intellectuel.








-3- Comment se présente la méthode et qui peut l’utiliser avec profit ?






C'est une méthode prête à l'emploi pour tous les utilisateurs qu’ils soient parents ou enseignants.




Elle est composée de deux manuels:






Le manuel de l'élève (1) obéit au cahier des charges mis en évidence par les travaux initiaux de l’auteur publiés en 1993 (la recherche médicale au secours de la pédagogie) et en 2005 (apports des neurosciences et pédagogie du langage écrit). Il est construit comme expliqué ci-dessus et est destiné à la partie lecture de l’apprentissage. Son vocabulaire est très riche (environ 3300 mots sont utilisés dans les textes proposés au fil de ce manuel)






Le manuel pédagogique donne de façon détaillée les consignes à respecter rigoureusement pour mener à bien l'apprentissage. Aucune formation spéciale n'est nécessaire car tout est expliqué pour permettre une autonomie complète du maître (si toutefois une question se pose nous sommes à disposition au 01 45 77 01 87 (de 19h à 20h30) ou katherine.wettstein@orange.fr)






- Il propose des exercices nécessitant un "petit outillage" qu’il est facile de réaliser à partir de photocopies de planches du manuel préparées à cet effet et de découpages. Ces exercices, considérés par les enfants comme des jeux sont destinés à préparer l'apprentissage pour de très jeunes ou à l'accompagner. Ils permettent de mettre au niveau requis pour apprendre à lire et à écrire les aptitudes suivantes : latéralisation, orientation dans l'espace, reconnaissance des formes ou encore maîtrise de la main pour le graphisme.






Ensuite leçon par leçon (graphème par graphème) il explique de manière détaillée comment opérer et notamment comment faire appel à tous les moyens possibles pour faciliter l'apprentissage (la vue, l’ouïe bien sûr mais aussi le toucher avec des lettres rugueuses, la motricité et la latéralisation avec les lettres mobiles et les gestes dans l'espace). Le schéma de chaque leçon est toujours le même ; il comprend :




- une séquence d’exercices sensori-moteurs ;




- une séquence de lecture effectuée dans le manuel de l'élève suivie de questions sur les textes lus car on ne sait lire que lorsque l'on est capable, avec ses propres mots, de résumer un texte qu'on vient de lire) ;




- une séquence d'écriture qui se fait sur un cahier d'écolier ;




- une séquence de copie ou de dictée.






-4°- Conditions pour obtenir d’excellents résultats :






Si la méthode est utilisée régulièrement (entre ¼ d’heure et ½ heure quotidiennement selon l’âge de l’enfant) et de façon rigoureuse (respect de toutes les consignes du « livre du maître », l’enfant saura, à la fin, lire, écrire et aura acquis les premières bases de l’orthographe. En outre, cette pédagogie qui contribue à la structuration de la pensée conceptuelle (abstraction, raisonnement, analyse et synthèse) constitue une aide majeure dans la stimulation du développement intellectuel.




Pour tous renseignements complémentaires : n’hésitez pas à nous contacter :




Katherine Wettstein - FRANSYA 39, Rue de l'Eglise, 75016 Paris




mailto:katherine.wettstein@orange.fr




tel 01 45 77 01 87 (de 19h à 20h30)




(1) le livre de l’élève est disponible séparément pour un groupe d’élèves (nous consulter pour avoir un devis)


aperçu du livre du maître et du livre de l'élève : cliquer sur les liens ci-dessous



-2°- "foire" aux questions sur l'apprentissage de la lecture et de l'écriture


A quel âge mon enfant peut-il commencer à apprendre à lire et à écrire ?

Il n'y a pas d'âge précis pour aborder la lecture. Cet apprentissage peut être commencé dès que l'enfant manifeste de l'intérêt pour l'écrit. Il est indispensable que les parents stimulent leur enfant pour optimiser son développement mais il faut aussi avoir la sagesse de respecter le rythme de son évolution.

Vous saurez que votre enfant est prêt pour apprendre à lire lorsqu'il vous posera des questions sur ce qui est écrit, cherchera à comprendre ce qu'il voit sur les livres, les affiches, les journaux ou, tout simplement, quand il répondra avec enthousiasme à votre proposition d'apprendre à lire. L’expérience prouve que, pour la majorité des enfants, la grande section de maternelle est l’âge idéal pour débuter l’apprentissage de la lecture et de l’écriture.

A partir de 5 ans, dans la majorité des cas, parfois avant, les enfants peuvent aborder la méthode plurisensorielle d’apprentissage de la lecture et de l’écriture Fransya. Les exercices sensorimoteurs qu’elle contient permettent aux jeunes enfants d’acquérir les compétences indispensables à la pratique de la lecture et de l’écriture : discrimination des sons, identification et orientation des formes dans l’espace, maîtrise du graphisme, enrichissement du vocabulaire et de l’expression orale, travail destiné à développer la compréhension, etc.

Ces points sont largement détaillés dans l’ouvrage du Dr G.Wettstein-Badour « Bien parler, bien lire, bien écrire » publié aux Editions Eyrolles et dans le manuel du maître de la méthode Fransya d’apprentissage de la lecture et de l’écriture.

Apprentissage de la lecture et structuration des circuits cérébraux ?

La manière dont on apprend à lire joue un rôle déterminant dans la structuration du cerveau. Ceci est clairement démontré par l’IRM fonctionnelle.

L’objectif de toute bonne pédagogie du langage écrit doit être non seulement de permettre la maîtrise de la lecture et de l’écriture, d’acquérir les premières bases de l’orthographe et d’enrichir le vocabulaire mais aussi – et c’est peut-être l’objectif le plus important bien que le moins visible dans un premier temps - d’optimiser la construction des circuits cérébraux du langage qui jouent un rôle de premier plan dans l’élaboration de la pensée conceptuelle et dans le développement de l’intelligence. C’est le but que s’est fixé la méthode d’apprentissage de la lecture et de l’écriture créée par le Dr Ghislaine Wettstein-Badour et diffusée par Fransya depuis 1996.

Ceux qui souhaitent approfondir cette question trouveront des explications scientifiques dans l’étude 2006 du même auteur et leurs conséquences pratiques dans « Bien parler, bien lire, bien écrire, (Editions Eyrolles) ainsi que dans le livre du maître de la méthode Fransya d’apprentissage de la lecture et de l’écriture.

Comment puis-je alléger le travail du soir de mon enfant pour dégager 15 à 20 minutes afin de lui permettre d’apprendre à lire et écrire avec la méthode Fransya ?

Si votre enfant est en difficulté dans le domaine de la lecture et de l’écriture, l’apprentissage de la langue écrit constitue pour lui une priorité absolue. En effet, tant qu’il ne parviendra pas à bien lire et écrire, il ne pourra ni apprendre ses leçons, ni comprendre les consignes écrites qui lui seront données, ni réaliser les exercices demandés.

Tout est simple quand son enseignant comprend la situation et dispense l’enfant de travail écrit à la maison. S’il n’en est pas ainsi, vous devrez alors réaliser vous même les devoirs en demandant à l’enfant de participer oralement puis, s’il le peut, vous lui demanderez de les recopier. Cette situation n’est pas idéale car l’enfant se trouvera en contact avec des graphèmes qu’il ne connaît pas. Vous lui demanderez de reproduire ce qui est écrit sans se poser de questions sur ce qu’il ne comprend pas. Vous ne devrez, sous aucun prétexte, « sauter » des leçons de la méthode de lecture pour lui faire apprendre les graphèmes inconnus. Ce serait une grave erreur qui compromettrait la qualité de ses apprentissages en entraînant le désordre dans son esprit. De même, il est inutile, et même dangereux, de lui faire apprendre l’orthographe de mots qui contiennent des graphèmes inconnus. La lecture proposée par l’école ne doit pas être réalisée. Pour que l’enfant en connaisse le lendemain le sens, la meilleure solution consiste à la lui lire et à lui demander de la mémoriser comme il le ferait pour une poésie. Quant aux autres leçons, vous devez également les lui lire et les lui faire reformer oralement, ce qui est un excellent exercice pour développer les capacités d’analyse et de synthèse. Au fur et à mesure de l’avancement de l’apprentissage en lecture et écriture, l’écart entre ce qui est demandé à l’enfant et ce qu’il peut réaliser se réduira mais il faut savoir accepter les difficultés de cette période intermédiaire et aider l’enfant à les surmonter pour atteindre le but recherché. Votre détermination et votre soutien le lui permettront.

Décryptage et découverte du sens ?

Savoir décrypter un texte et en comprendre le sens sont deux temps neurologiquement indissociables de la lecture. L’imbrication des circuits cérébraux du langage oral et écrit est telle que le travail de découverte du lien entre les graphèmes et les phonèmes qu’ils représentent facilite la découverte du sens et celle-ci, à son tour, facilite la découverte du lien grapho-phonémique.

Une méthode d’apprentissage de la lecture et de l’écriture bien conçue conduit l’enfant à comprendre ce qu’il lit et donc à aimer lire, dès le début de l’apprentissage. Le fait de savoir décrypter et de ne pas comprendre est dû, dans la très grande majorité des cas, à une pédagogie qui ne permet pas une bonne mise en place des circuits cérébraux.

Contrairement à ce qui est trop souvent affirmé sans la moindre preuve, les méthodes alphabétiques sont celles qui conduisent le plus facilement à la découverte du sens.

Pour plus d’informations, il est possible de consulter l’article « méthodes alphabétiques et découverte du sens » du Dr G.Wettstein-Badour et l’étude 2005 « apports des neurosciences et pédagogie du langage écrit » du même auteur.

Différence entre méthodes alphabétiques et syllabiques ?

Pour lire, le cerveau doit pouvoir identifier les phonèmes, unités sonores élémentaires de la langue orale, et les graphèmes, unités graphiques qui les représentent. Les syllabes ne constituent pas des unités de base car elles sont, dans leur très grande majorité, composées d’une combinaison de phonèmes.
Ex : « la » contient les phonèmes « l » et « a ».
« lapin » est formé de 2 syllabes mais de 4 phonèmes : « l »-« a » -« p »- « in ».

Le terme de « méthode syllabique » signifie que l’on part des syllabes pour apprendre à lire sans avoir travaillé antérieurement les correspondances entre les phonèmes et graphèmes qui composent chacune d’elles. Ceci constitue une forme d’approche semi-globale de l’apprentissage de la lecture. Le travail y est, certes, plus simple que dans les méthodes semi-globales courantes mais, en étant moins proches des attentes du cerveau, il présente cependant un risque de confusions plus élevé que celui des méthodes strictement alphabétiques.

Les méthodes alphabétiques abordent la lecture par l’apprentissage explicite de chaque correspondance entre phonème et graphème.

Les dénominations « méthodes syllabiques » et « méthodes alphabétiques » ne sont donc pas des expressions synonymes car elles représentent deux modes différents d’apprentissage de la lecture.

Difficultés d’apprentissage de la lecture et musique ?

Chez 40% des enfants de 5 à 6 ans il persiste des difficultés de discrimination des sons proches les uns des autres. Cette perturbation est particulièrement forte chez les dyslexiques. Devant l’importance de ce pourcentage, on comprend facilement l’intérêt de la pratique d’exercices spécifiques pour entraîner les enfants en ce domaine et corriger ce handicap chez ceux qui en sont victimes.

Il est utile de commencer par des exercices portant sur l’écoute de diverses catégories de sons, d’amener l’enfant à prendre conscience de leur différence de hauteur, de timbre, de rythme d’émission. Ceci peut réaliser une première approche de culture musicale. (voir l’ouvrage du Dr G.Wettstein-Badour « Bien parler, bien lire, bien écrire » Editions Eyrolles et le livre du maître de la méthode Fransya d’apprentissage de la lecture et de l’écriture).

Les parents doivent savoir que les enfants qui présentent des difficultés dans la discrimination des sons et la reconnaissance des formes dans l’espace trouveront les mêmes obstacles dans l’étude du solfège que dans celui de la lecture. Tant que persistent des difficultés à ce niveau, il est donc sage de ne pas envisager l’apprentissage du solfège afin de ne pas créer des sources d’échec supplémentaire chez un enfant qui peine déjà beaucoup en classe.

Discrimination des sons ?

Environ 40 % des enfants de 5 ans ne parviennent pas à discriminer les sons phonologiquement proches les uns des autres : d/b/p/t, f/v, s/ss/z/ch, j/ch, etc.
Passé cet âge, ils n’y parviendront pas seuls. Il faut donc les y aider car ces enfants sont considérés comme « à risques » dans le domaine de l’apprentissage de la langue écrite.

En raison du pourcentage élevé d’enfant en difficulté dans ce domaine, toute bonne méthode d’apprentissage de la lecture et de l’écriture doit contenir systématiquement des exercices d’écoute et de discrimination des sons. Ce travail est difficile et les adultes sont souvent surpris du nombre d’erreurs commises par les enfants lors ces exercices. Il ne s’agit pas d’un manque d’attention mais d’une véritable anomalie d’origine neurologique qu’il faut traiter comme telle et rééduquer. Chez les dyslexiques, ce type de perturbation est très marqué et se corrige moins vite que chez les autres enfants mais l’expérience prouve que si ces exercices sont faits en quantité suffisante, tous les enfants, y compris les dyslexiques, parviennent à acquérir une bonne discrimination phonologique. Par contre, si ce travail n’est pas réalisé et que l’enfant se trouve en présence d’une méthode de type semi-global où il doit lui-même découvrir les correspondances entre phonèmes et graphèmes, l’échec est inévitable et se manifestera par des troubles graves de la lecture et de la reproduction écrite du langage oral (écriture, orthographe).

Ceux souhaitent de plus amples informations sur ces différents points trouveront des explications scientifiques dans l’étude 2005 « apports des neurosciences et pédagogie du langage écrit » du Dr Wettstein-Badour, et des exercices adaptés à proposer aux enfants dans le livre « Bien parler, bien lire, bien écrire » du même auteur (Editions Eyrolles) ainsi que dans le livre du maître de la méthode Fransya d’apprentissage de la lecture et de l’écriture.

Dyslexie et apprentissage de la lecture et de l’écriture ?

La dyslexie est une difficulté durable d’apprentissage de la lecture, de l’écriture et, secondairement de l’orthographe, survenant chez des sujets ne présentant pas de déficits sensoriels ou intellectuels sévères et ayant été normalement scolarisés. On ne peut pas parler de dyslexie quand le quotient intellectuel est situé nettement en dessous de la moyenne car les déficits constatés sont alors, dans la plupart des cas, de plusieurs natures. De même, il faut différencier l’enfant qui lit mal parce qu’il a été soumis à une méthode d’apprentissage à laquelle il n’a pu s’adapter (40 % des élèves) et le véritable dyslexique, victime d’anomalie génétiques qui ne représente que 2 à 4 % de la population scolaire.

La dyslexie touche 4 fois plus souvent les garçons que les filles. De très récentes études (2003-2006) montrent qu’elle correspond à des anomalies de situation des neurones concernés par la lecture et l’écriture ainsi que des circuits qui les relient et que ces perturbations régressent après rééducation.

Lors de l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, la dyslexie est surtout caractérisée par des inversions et confusions de sons qui résultent des difficultés qu’éprouvent les dyslexiques pour discriminer les phonèmes proches les uns des autres. S’y ajoutent souvent des anomalies du repérage dans l’espace à deux dimensions qui conduit à de erreurs dans l’identification et la reproduction des graphèmes. Les enfants dyslexiques ont souvent présenté un retard dans l’acquisition du langage oral. Une expression très pauvre vers 3 ans doit constituer un signe d’appel et conduire les parents à faire bénéficier l’enfant de procédures d’aide. Le recours à l’orthophonie peut être nécessaire mais, souvent, il suffit de prendre quelques mesures simples et de faire pratiquer à l’enfant des exercices adaptés pour débloquer la situation. Ceux-ci sont largement détaillés dans l’ouvrage « Bien parler, bien lire, bien écrire » du Dr G.Wettstein-Badour (Editions Eyrolles).

La méthode plurisensorielle Fransya d’apprentissage de la lecture et de l’écriture permet aux enfants dyslexiques comme à ceux qui n’ont pas pu s’adapter aux pédagogies qui leur étaient proposées de parvenir à maîtriser la langue écrite. Il en est de même pour les méthodes d’apprentissage de l’orthographe (analyse, grammaire, conjugaison, orthographe d’usage). La seule différence entre les véritables dyslexiques et les autres enfants réside dans le fait que le temps d’apprentissage est plus long chez les premiers parce qu’ils doivent bénéficier d’un plus grand nombre d’exercices plurisensoriels que les autres enfants.

Faire lire un enfant en difficulté ne suffit pas pour améliorer sa lecture

On pense souvent que l’entraînement à la lecture suffit pour résorber les difficultés de lecture d’un enfant. Ceci est inexact. Des études spécialisées on montré que l’entraînement était sans effet sur les performances en lecture quand l’enfant n’a pas bien acquis la connaissance des liens qui unissent les graphèmes aux phonèmes qu’ils représentent.

Lorsqu’un enfant lit mal, la seule solution est donc de lui apprendre ces correspondances une à une, comme on le ferait pour un débutant. Seulement ensuite, comme chez tous les jeunes lecteurs, l’entraînement pourra être bénéfique. Il permettra d’acquérir vitesse et fluidité dans la lecture. Mais, sans réapprentissage, le mauvais lecteur ne progressera pas. De plus, les difficultés qu’il éprouvera et la fatigue qui en découlera seront telles qu’il prendra la lecture en horreur et se fermera définitivement l’accès aux livres.

Faut-il utiliser d’autres outils pédagogiques avec la méthode plurisensorielle Fransya
d’apprentissage de la lecture et de l’écriture ?

Cette pédagogie a été élaborée en tenant compte d’un cahier des charges précis qui découlent des connaissances essentielles dont nous disposons aujourd’hui dans le domaine du fonctionnement cérébral dans la lecture et l’écriture. Les exercices qui y sont mentionnés sont donc tous indispensables.

Les parents qui utilisent cette pédagogie disposent dans le livre du maître de toutes les informations nécessaires pour permettre à leurs enfants de construire des circuits cérébraux optimisés dans le domaine du langage écrit. Il n’est pas nécessaire d’adjoindre d’autres exercices à ceux qui sont proposés. L’introduction de gestes qui ne sont pas ceux de la reproduction de la forme des lettres est inutile et même, pour certains enfants, source de difficultés supplémentaires. Il est également déconseillé d’utiliser les lettres présentées dans certains logiciels de lecture car leur forme peut être différente de la calligraphie choisie dans cette méthode. De plus, les majuscules sont souvent présentées en même temps que les minuscules, choix qui a été volontairement écarté dans la méthode Fransya. Enfin, il faut systématiquement exclure toute autre approche de l’apprentissage de l’écrit qui présenterait une progression différente de celle qui a été retenue dans cette pédagogie afin que l’enfant ne se trouve pas en présence de graphèmes inconnus ou de lettres muettes à la fin des mots.

Gauchers, gauchers contrariés et apprentissage de la langue écrite

La motricité chez l’homme est latéralisée. Celle-ci est croisée ce qui signifie que l’hémisphère droit commande la partie gauche du corps et l’hémisphère gauche contrôle la partie droite.

Pour 90 % des sujets, la motricité est plus développée à droite qu’à gauche, ce qui signifie que l’hémisphère gauche est dominant dans cette fonction. Chez le droitier, les aires motrices du cortex cérébral de l’hémisphère gauche correspondant à la motricité fine de la main sont beaucoup plus développées que celles de l’hémisphère droit. C’est l’inverse chez le gaucher.

Mais, qu’il s’agisse de droitier ou de gaucher, sauf quelques cas exceptionnels, les centres de traitement du langage sont toujours localisés dans l’hémisphère gauche.

Chez le droitier comme chez le gaucher, lorsqu’il n’est exercé sur le cerveau aucune pression contraignante, les différentes aires se structurent et organisent leurs connexions pour que chacune puisse intervenir sans gêner les autres. Les gauchers dont on respecte la latéralisation ne présentent pas plus de difficultés que les autres sujets lors de l’apprentissage de la lecture. Seule l’écriture est de moins bonne qualité si l’enfant ne parvient pas à acquérir une bonne tenue de son crayon et un bon positionnement de sa main quand il écrit.

Que se passe-t-il chez le gaucher contrarié ?

Si l’on oblige un gaucher à devenir droitier, il va devoir développer une motricité fine de la main droite dont il ne dispose pas naturellement. Les neurones de l’hémisphère gauche qui commandent cette motricité étant moins performants et beaucoup moins nombreux que ceux de l’hémisphère droit chez le gaucher, le cerveau de celui-ci va avoir besoin, pour réussir dans sa tâche, de recruter des neurones dans les aires voisines de celles de la motricité de la main. Ceux-ci vont devoir changer de fonction pour s’adapter aux nouvelles exigences motrices qui leur sont demandées. La plasticité neuronale permet ces changements mais ce prélèvement de neurones détournés de leur tâche naturelle peut créer des déficits fonctionnels dans les aires où ils ont été recrutés. Les plus proches étant les aires du langage, les perturbations touchent souvent cette fonction. On peut alors constater des défauts de prononciation ou du bégaiement. Dans d’autres cas, il s’agira d’une lenteur persistante dans l’élocution. Il peut également y avoir des perturbations de l’orientation spatiale. Le langage écrit est fréquemment touché : lenteur ou difficultés d’apprentissage, dysgraphies. Ces troubles peuvent se corriger mais certains gauchers contrariés conservent toute leur vie un handicap sérieux au niveau du langage ainsi qu’une fonction motrice qui n’atteint pas une qualité normale et est source d’une maladresse persistante. Il ne faut pas oublier non plus la fréquence d’une forte anxiété et d’une peur de l’échec liées aux énormes difficultés d’adaptation que ces sujets ont vécues en raison du changement imposé de latéralisation motrice. On voit beaucoup moins de cas de ce genre actuellement mais, hélas, il en existe encore.

Il n’y a qu’une façon d’apprendre à lire et écrire ?.

Il existe différents modes d’approche pédagogiques d’apprentissage de la lecture. Pourtant, les données issues des neurosciences contemporaines nous permettent de comprendre que, quelle que soient les techniques utilisées, le cerveau devra, pour parvenir au résultat, traiter l’information qui lui parvient de manière à ce que celle-ci soit utilisable pour permettre la découverte du sens de l’écrit. Plus les techniques d’apprentissage lui facilitent cette tâche d’une très grande complexité, plus il est performant.

La connaissance du mode de fonctionnement du cerveau dans la lecture et l’écriture permet donc d’établir un cahier des charges qui devrait être celui de toute bonne méthode d’apprentissage en ce domaine. Aucune compréhension de l’écrit n’est possible sans passage par la connaissance des liens qui unissent les sons élémentaires de la langue orale (les phonèmes) avec les signes écrits qui les représentent (les graphèmes). Pour optimiser l’apprentissage il est indispensable de fournir au cerveau les moyens de mémoriser ces liens en excluant toute possibilité de les découvrir dans des mots contenant des unités graphiques inconnues afin de limiter le plus possible les risques de confusions dans la mise en mémoire de l’équivalence sonore des signes graphiques. Seules les méthodes alphabétiques répondent à ce critère.

Des informations scientifiques détaillées sur cette question se trouvent dans l’étude 2005 « apports des neurosciences et pédagogie du langage écrit » du Dr G.WETTSTEIN-BADOUR et leurs conséquences pratiques sont explicitées dans l’ouvrage « Bien parler, bien lire, bien écrire » du même auteur (Editions EYROLLES).

Importance de la langue orale dans l’apprentissage de l’écrit ?

Le langage oral précède l’écrit dans l’évolution de l’Homme mais aussi dans l’histoire de chaque individu. Il n’y a pas de compréhension possible de la langue écrite sans connaissance du vocabulaire que celle-ci véhicule.

La préparation de l’apprentissage de l’écrit commence dans les premiers mois de la vie car sa qualité dépend du soin qui a été porté à l’acquisition du langage oral chez l’enfant. (Voir « Bien parler, bien lire, bien écrire » du Dr G.Wettstein-Badour, Editions Eyrolles)

La méthode Fransya d’apprentissage de la lecture et de l’écriture porte un grand soin à l’enrichissement du vocabulaire. Elle contient plus de 3300 mots différents dans le livre de l’élève auxquels doivent s’ajouter les termes que le maître doit toujours expliquer dans les exercices qu’il lui est demandé de proposer aux élèves.


Intérêt majeur de l’absence de lettres muettes dans l’apprentissage de la lecture et de l’écriture ?

Une bonne méthode d’apprentissage de la lecture doit partir des éléments connus pour avancer graphème par graphème afin que l’apprenti lecteur puisse comprendre la cohérence des règles du montage des mots. Ceci permet d’éliminer toute forme d’hypothèses dans le décryptage des signes graphiques et limite ainsi considérablement les risques de confusions de lettres morphologiquement proches.

Les lettres muettes n’ayant par définition aucune correspondance phonologique sont, le plus souvent, le fruit de marques grammaticales ou résultent de l’évolution de la langue dans le temps. Ce n’est pas le cas du « e » final des mots qui est, dans la très grande majorité des cas, une lettre qui se prononce de manière moins nette que les autres lettres mais qui doit cependant être audible pour les enfants (les méridionaux n’ont aucun mal à respecter cette règle !).

Les lettres muettes sont très perturbatrices pour le lecteur débutant car elles ne s’intègrent pas dans les règles acquises. Comment lui faire comprendre que « chat » se prononce « cha » et non « cha+t », que « ent » se prononce « en » dans certains mots (les adverbes, par exemple) et « e » dans d’autres mots (« ent » des verbes à la 3ème personne du pluriel) ? Le cerveau apprend en classant les données qui lui sont fournies par catégories (phonèmes, graphèmes, connaissances lexicales et grammaticales, etc.). Si l’on veut obtenir des circuits bien câblés et efficaces, il est indispensable de rationaliser le plus possible l’apprentissage de la langue en ne proposant que des mots, des phrases et des textes qui ne contiennent que des correspondances grapho-phonémiques déjà apprises dans lesquelles on introduit celle qui est en cours d’apprentissage. Peu à peu sont présentés comme exceptions au graphème en cours d’apprentissage des petits mots d’usage très courant, par exemple sous, dans, devant.. Les lettres muettes correspondant à des marques grammaticales simples sont expliquées progressivement dans la méthode d’apprentissage de la lecture (marques du pluriel, accord des verbes à la 3ème personne du pluriel, etc.). A partir du moment où ces données ont été étudiées, elles figurent dans les mots et les enfants doivent les transcrire dans leurs propres productions écrites, en particulier en dictée. L’expérience prouve qu’ils y parviennent facilement et maîtrisent bien ces premiers rudiments de grammaire à la fin de la méthode. Les autres types de lettres muettes (en particulier les finales des mots), sont présentées à la fin de la méthode où il est possible, pour la plupart d’entre elles, de fournir une explication logique.

La méthode Fransya d’apprentissage de la lecture et de l’écriture répond à ce cahier des charges rigoureux. Bâtir des phrases et des textes répondant à ces contraintes tout en étant porteur de sens, d’intérêt pour le lecteur et riche en vocabulaire ne fut pas un travail facile pour le concepteur de la pédagogie mais ceci représente certainement un point déterminant de son efficacité.

Toute introduction de lettres muettes, y compris en les faisant apparaître en plus petite taille, dans des couleurs différentes ou barrées, constitue une perturbation dans la construction des circuits cérébraux et leur fonctionnement logique.

Absence de lettres majuscules avant la fin de la méthode


C’est après mûre réflexion que j’ai choisi cette absence. La raison essentielle en est de ne pas imposer aux enfants l’apprentissage simultané de quatre formes graphiques (minuscules et majuscules « du livre » (imprimées) et « du cahier » (cursives). Si les majuscules d’imprimerie sont assez simples à mémoriser, il n’en est pas de même pour celles de l’écriture manuelle. Certes, la nouvelle réglementation indique de faire apprendre aux élèves les majuscules d’imprimerie et de les utiliser dans l’écriture manuscrite mais la plupart des enseignants continuent à proposer à leurs élèves les deux formes de majuscules ce qui oblige à retenir quatre graphies pour une seule lettre. Ceci me semble excessif surtout pour les enfants, très nombreux en CP, qui présentent des difficultés de reconnaissance et d’orientation des formes dans l’espace. Enfin, il faudrait faire pratiquer tous les exercices (gestes dans l’espace reproduisant chaque graphie, lettres mobiles et rugueuses) dans ces quatre types d’écriture. Ceci, à mon avis, brouillerait le message en l’alourdissant considérablement alors qu’en fin de parcours l’apprentissage des majuscules ne nécessite pas la pratique de ces exercices. Le fait de mettre un point à la fin de chaque phrase lue dans le livre ou écrite par l’enfant ainsi que d’aller à la ligne systématiquement pour commencer une nouvelle phrase me semble suffisant pour permettre de prendre conscience de l’unité syntaxique de chacune d’elle. Je sais que ce choix bouscule les habitudes et amène certains enseignants à rejeter d’emblée cette méthode mais je ne regrette pas de l’avoir maintenu car l'expérience montre qu’il facilite beaucoup l’apprentissage sans nuire aucunement au résultat final.

La dictée à l’adulte ?

Elle n’a pas sa place dans un apprentissage correct de la lecture et de l’écriture.

Un des principes essentiels pour obtenir une bonne structuration des circuits du langage consiste à ne jamais introduire dans un texte à lire ou à écrire de mots contenant des graphèmes qui n’ont pas été étudiés ou des lettres muettes à la fin des mots dont les raisons de l’existence n’ont pas encore pu être expliquées. Ceci rend impossible l’écriture de textes dictés au maître par les enfants.

Les dictées de la méthode plurisensorielles Fransya qui doivent être exécutées à la fin de l’apprentissage de chaque graphème sont construites pour répondre à ces exigences. Au fil des leçons, elles nécessitent l’application des règles de grammaire qui sont indissociables de l’apprentissage de la lecture (marques du singulier et du pluriel, « ent » à la fin des verbes à la 3ème personne du pluriel, différence entre « et » et « est », etc.). Elles sont donc cohérentes avec l’ensemble de l’apprentissage et permettent de consolider les connaissances acquises.

La méthode Fransya d’apprentissage de la lecture et de l’écriture est-elle utilisée dans certaines écoles ?

Cette méthode est utilisée depuis plusieurs années dans d’assez nombreuses classe de l’enseignement public et privé. Certaines écoles la mettent en œuvre dès la grande section de maternelle, d’autres l’utilisent uniquement en CP.

L’apprentissage couvre l’ensemble de l’année scolaire de CP, l’expérience montrant que pratiquement tous les enseignants termine la méthode dans le courant du mois de juin. Les débuts sont très lents. Ceci s’explique par le fait qu’il faut partir de connaissances inexistantes chez les enfants pour construire les circuits cérébraux nécessaires à la lecture les uns après les autres. La situation est encore plus difficile quand les enfants arrivent en classe avec des connaissances erronées.

Des évaluations standardisées, réalisées en juin par des enseignants volontaires, montrent que les résultats sont excellent et pratiquement identiques dans toutes les classes, quelle que soit l’origine socioculturelle des enfants.

Les témoignages des enseignants permettent de juger de l’efficacité et de l’attractivité de cette pédagogie pour les enfants qui en bénéficient.

Le mot n’est pas une image ?

Il est tentant de considérer le mot écrit comme une image. Cependant les connaissances dont nous disposons aujourd’hui infirment totalement cette hypothèse. Pour le cerveau le mot, qu’il soit issu d’une langue alphabétique ou idéogrammique, n’est jamais perçu comme une image, pas plus chez le lecteur entraîné que chez le débutant. La raison en est simple. Le mot est une perception visuelle totalement différente des autres parce qu’elle est la représentation symbolique de sons. Il en est de même pour l’écriture musicale. C’est deux types de perception sont traitées par l’hémisphère gauche alors que toutes les perceptions visuelles graphiques (ex : dessin, image) sont prises en charge par l’hémisphère droit.

Cette réalité neurologique a des conséquences d’une importance fondamentale en pédagogie. En effet, l’hémisphère gauche ne peut travailler qu’en partant des éléments analysés pour en faire la synthèse alors que l’hémisphère droit part des ensembles pour aboutir aux détails. Le mot n’est donc jamais traité dans son ensemble. C’est une des raisons essentielles de la supériorité des méthodes alphabétiques sur toutes les autres méthodes. Elles sont, en effet, les seules à fournir au cerveau, dès le début de l’apprentissage, les éléments de base dont il a besoin pour pratiquer les synthèses. Des précisions scientifiques sur cette question sont disponibles dans l’étude 2005 « apports des neurosciences et pédagogie du langage écrit » du Dr G.Wettstein-Badour.

L’oralisation de la lecture ?

L’oralisation de la lecture est une nécessité neurologique et l’aboutissement normal de l’acte de lire. En effet, le parcours de l’information concernant le langage écrit se termine dans les aires motrices de la phonation. Lorsqu’ un lecteur lit à voix basse, il doit inhiber le fonctionnement de ces aires. Il doit donc faire intervenir des coupe-circuits pour les rendre inopérantes. Or, en neurologie, il est plus difficile d’effectuer un mécanisme d’inhibition que d’action. En demandant à l’enfant qui débute de lire à voix basse on lui rend la tâche beaucoup plus complexe. On accentue ainsi le risque d’erreurs et on crée chez lui une fatigue importante, source de déconcentration. On se prive, de plus, sur le plan pédagogique d’un moyen essentiel de contrôle de la qualité de sa lecture.

Mémorisation de la forme orthographique des mots ?

La découverte d’une aire cérébrale capable de conserver la mémoire de la forme orthographique des mots est récente. Cette mise en mémoire concerne uniquement les petits mots simples, lus et écrits très fréquemment, dont l’orthographe est invariable. La plupart des chercheurs pensent aujourd’hui qu’elle se fait par stockage des correspondances entre graphèmes et phonèmes dans ce mot. Ce sont des comparaisons entre les graphèmes perçus et ceux stockés en mémoire qui en permettent la lecture. Ce type de travail n’a aucun rapport avec une lecture « globale » du mot. Il n’est utilisable dans la lecture que chez le lecteur expert et n’est pas accessible au débutant. Au niveau de l’écriture, le mot mémorisé sous sa forme orthographique est restitué lettre après lettre. Les autres productions orthographiques nécessitent la mise en œuvre d’un immense réseau de neurones interconnectés dont le rôle est d’intégrer dans l’écriture des connaissances lexicales et grammaticales acquises. Elles nécessitent des opérations d’analyse et de synthèse très élaborées qui n’ont aucun rapport avec le processus de reconnaissance visuelle de la forme orthographique du mot.

Des explications scientifiques portant sur cette question sont détaillées dans l’étude 2005 « apports des neurosciences et pédagogie du langage écrit » du Dr Wettstein-Badour.

Place du geste dans l’apprentissage de la lecture et de l’écriture ?

L’utilisation d’un geste reproduisant la forme des graphismes est un élément très important pour faciliter la mémorisation du tracé des lettres. Ce geste doit être exécuté avec le doigt de la main dominante dans un plan vertical (geste dans l’espace, sur un tableau, etc.). Il est réalisé pour la forme de la lettre d’imprimerie et manuscrite. Il est inutile - et même parfois néfaste - d’introduire une variété supplémentaire de symbolismes pour représenter les lettres car celui-ci surcharge inutilement la mémoire.

Des explications complémentaires sur ce point figurent dans l’ouvrage « Bien parler, bien lire, bien écrire » du Dr Wettstein-Badour (Editions Eyrolles) et dans le livre du maître de la méthode Fansya d’apprentissage de la lecture et de l’écriture. L’étude 2006 du même auteur apporte des informations plus théoriques sur ce sujet.


Pourquoi utiliser des graphèmes mobiles pour apprendre à lire et écrire ?

L’utilisation de graphèmes mobiles est destinée à favoriser la mémorisation du lien entre la forme des graphèmes et le son qu’ils représentent.

Le fait de choisir les graphème les uns après les autres dans l’ordre où ils sont entendus dans les mots permet à l’enfant d’éviter ou de corriger les inversions de lettres en lecture ou écriture.

Dans la méthode Fransya d’apprentissage de la lecture et de l’écriture, cette pratique est utilisée pour apprendre à reconnaître chaque graphème et pour transcrire le mot titre de chaque leçon. Lorsqu’un graphème comporte plusieurs lettres, celui-ci est représenté par un carton comportant toutes les lettres qui le composent. L’utilisation des graphèmes mobiles est également préconisée pour reproduire les mots que l’enfant a du mal à lire dans la leçon en cours ou dans les leçons précédentes, par exemple des mots présentant plusieurs consonnes successivement (ex : br, pr, dr, cr, etc.). Aucun mot porteur de graphèmes non appris, de lettres résultant d’un accord ou de lettres muettes ne doit être proposé.

Des explications complémentaires sont fournies dans le livre du maître de la méthode plurisensorielle Fransya d’apprentissage de la lecture et de l’écriture ainsi que dans l’ouvrage « Bien parler, bien lire, bien écrire » du Dr G.Wettstein-Badour (Editions Eyrolles).

Pourquoi utiliser des lettres rugueuses pour apprendre à lire et écrire?

Introduites dans l’apprentissage de la lecture par Maria Montessori, les lettres rugueuses représentent un outil essentiel pour faciliter la mémorisation de la forme des lettres et de leur orientation dans l’espace. Elles doivent être très largement utilisées quel que soit l’âge d’apprentissage de la langue écrite et jouent un grand rôle dans la stimulation sensorielle indispensable à la structuration des circuits cérébraux de la lecture et de l’écriture. Les données scientifiques concernant cette question figurent dans l’étude 2005 « apports des neurosciences et pédagogie du langage écrit » du Dr G.WETTSTEIN-BADOUR. La manière de les construire et leur mode d’emploi sont détaillés dans le livre du maître de la méthode d’apprentissage de la lecture et de l’écriture.

Que faire pour bien préparer l’apprentissage de la lecture et de l’écriture ?

L’apprentissage de la lecture et de l’écriture se prépare bien avant l’entrée au CP. La qualité de la maîtrise de la parole, de la syntaxe de base, la possibilité de discriminer les sons de la langue orale, l’acquisition du repérage dans l’espace, le développement des aptitudes graphiques, conditionnent la réussite de l’enfant dans le domaine de l’écrit. Une éducation optimisée nécessite donc de connaître tout un ensemble de données et de faire exécuter à l’enfant, sous forme de jeux, des exercices adéquats et adaptés à son âge afin de lui permettre d’acquérir tous ces savoirs. Les moyens d’y parvenir figurent de manière très détaillée dans l’ouvrage du Dr G.Wettstein-Badour « Bien parler, bien lire, bien écrire (Editions Eyrolles) écrit pour aider dans cette tâche les parents qui le souhaitent.

Rôle de l’hémisphère droit du cerveau dans la lecture ?

Que le sujet soit droitier ou gaucher, son hémisphère droit ne joue aucun rôle au niveau de la technique de lecture. En effet, le mot n’est jamais traité comme une image pas plus chez le lecteur habile que chez le débutant. (voir le mot n’est pas une image).

L’hémisphère droit intervient pour apporter des éléments complémentaires d’intégration du sens dans le contexte du texte et dans l’expérience vécue du lecteur, perçoit les rimes, les caractéristiques littéraires du texte. Il est à l’origine des facteurs émotionnels créés par la lecture, des évocations qu’elle entraîne, etc.
Il en est de même pour la musique. L’hémisphère gauche « lit » la phrase musicale, l’hémisphère droit en perçoit la mélodie, le climat, l’intègre dans le contexte affectif du sujet.

Des explications complémentaires sur le rôle des hémisphères cérébraux dans la lecture et l’écriture figurent dans l’étude 2005 « apports des neurosciences et pédagogie du langage écrit » du Dr Wettstein-Badour.

Saccades oculaires et lecture ?

Il est indispensable de tenir compte des conditions de perception des lettres par la rétine pour optimiser l’apprentissage de la lecture et de l’écriture.

La lecture se fait au cours des pauses qui séparent les saccades oculaires. C’est au centre d’une très petite surface de la rétine, la macula (2 à 3 mm2), que s’effectue la vision fine des objets visuels.

La macula couvre environ 6 à 8 lettres dans le champ visuel lors de chaque pause oculaire mais le centre de la macula (la fovéa) où la vision est la plus précise ne peut identifier nettement que 1, 2 ou 3 lettres lors de cette même pause.

La nécessité d’une discrimination parfaite de chaque graphème oblige l’axe du regard à se centrer sur la fovéa pour reconnaître la forme de chaque lettre avec précision. Plus leur projection est éloignée de ce centre, plus les lettres sont difficiles à identifier.

Plusieurs publications montrent que les meilleurs lecteurs, contrairement à ce qui est trop souvent affirmé, sont ceux qui lisent le texte « lettre à lettre ». Ils identifient chacune d’elle avec précision et ne pratiquent jamais d’hypothèses de sens. Ils relient chaque lettre avec le graphème précédent et le suivant sans essayer de prédire la suite du texte.

Les caractéristiques de la vision rétinienne constituent à elles seules un élément essentiel pour comprendre l’efficacité des méthodes alphabétiques. L’apprentissage de la forme des lettres et de leur correspondance sonore facilite la lecture lettre à lettre et diminue considérablement la probabilité d’hypothèses dans le décryptage des graphèmes morphologiquement proches les uns des autres. Le travail de découverte du sens peut alors s’effectuer sur des bases exactes.

Ce point difficile est approfondi sur le plan scientifique dans l’étude 2005 « apports des neurosciences et pédagogie du langage écrit » du Dr Wettstein-Badour et des informations plus pratiques sont fournies sur ce sujet dans l’ouvrage du même auteur « Bien parler, bien lire, bien écrire » (Editions Eyrolles).

Suis-je capable d’apprendre à lire et à écrire à mon enfant ?

Oui, car le manuel pédagogique de la méthode plurisensorielle Fransya vous apporte tous les éléments dont vous avez besoin pour pratiquer correctement cet apprentissage, même si vous n'avez aucune connaissance pédagogique antérieure. Il vous suffira d'appliquer scrupuleusement les consignes qui vous sont données et de préparer très sérieusement chaque leçon à l'avance.

Vous devrez faire travailler votre enfant chaque jour (ou 5 jours/7) pendant une période courte, variable suivant son âge : 10 à 15 minutes pour les plus petits, 15 à 20 minutes, 30 minutes au maximum pour les plus grands en prenant soin pendant les périodes scolaires d’alléger son travail du soir pour que cet apprentissage ne vienne pas réduire la période de détente dont il doit impérativement bénéficier chaque jour. Enfin, votre attitude devra toujours être positive en ne soulignant pas les difficultés que votre enfant rencontre mais, au contraire, et en le félicitant pour ses succès, même si ceux-ci vous paraissent limités, en particulier au début de cet apprentissage qui est toujours lent lors des premières leçons.

Usage de la pédagogie Fransya à la maison en grande section de maternelle ?

L’usage de cette pédagogie ne peut qu’être bénéfique pour votre enfant. Contrairement à ce que beaucoup croient, les programmes de 2002, actuellement appliqués, confortés par l’arrêté de ROBIEN de mars 2006, plébiscitent totalement les méthodes actuellement utilisées. Les changements tant attendus dans le domaine de l’apprentissage de la lecture, n’ont pas eu lieu et n’auront pas lieu dans un avenir proche. A un moment où l’enfant est entouré de textes à l'école et utilise des étiquettes pour retenir les prénoms et un certain nombre de « mots-outils », vous avez tout intérêt à lui fournir les éléments indispensables pour réaliser un lien correct entre sons et graphismes et apprendre à lire en comprenant ce qu’il lit.

Un certain nombre d’écoles dans l’enseignement public comme dans le privé pratiquent cette pédagogie dès la grande section de maternelle.

Utilisation de la méthode Fransya chez les enfants dyspraxiques ?

Cette pédagogie n’est pas destinée aux pathologies du langage. Elle a cependant été proposée à des enfants dyspraxiques qui ne pouvaient pas maîtriser l’écriture. Ceux-ci sont parvenus, chacun à leur rythme, à acquérir une écriture à un rythme de production correct et au graphisme lisible.

Plus un enfant est en difficulté, plus la pédagogie utilisée doit être proche des exigences du fonctionnement cérébral afin de simplifier le plus possible la tâche à accomplir. Il est indispensable de faire exécuter à ces enfants de très nombreux exercices de motricité, de latéralisation, de reconnaissance et d’orientation de formes ainsi que de graphisme pour leur permettent d’acquérir la possibilité d’exécuter les gestes qui entrent dans la formation des lettres.

Utilisation de la méthode Fransya chez les enfants en difficulté ?.

Plus un enfant est en difficulté, plus la pédagogie utilisée doit être proche des exigences du fonctionnement cérébral pour lui simplifier les apprentissages. La pédagogie créée par le Dr G.Wettstein-Badour répond aux attentes du cerveau en matière d’apprentissage de la langue écrite et optimise ainsi l’acquisition de la lecture, de l’écriture et des premières bases de l’orthographe chez tous les enfants. Elle fait intervenir des exercices de motricité, de latéralisation, de reconnaissance et d’orientation de formes, de discrimination des sons associés à une progression strictement alphabétique, un travail fait sur l’enrichissement du vocabulaire, la compréhension et l’entraînement au résumé de texte qui permet la structuration des circuits cérébraux et le développement des aptitudes intellectuelles de chacun.

Chez les enfants en difficulté, quelle que soit la nature de celle-ci, il est préférable de débuter par les exercices préparatoires détaillés dans l’ouvrage du même auteur « Bien parler, bien lire, bien écrire » (Editions Eyrolles).

Cette pédagogie a déjà été utilisée avec succès chez des enfants trisomiques (à condition que leur quotient intellectuel ne descende pas en dessous de 65-70 aux échelles de Wechsler) ainsi que chez certains dysphasiques et dyspraxiques. Elle donne toujours d’excellents résultats chez les dyslexiques, quelle que soit la nature de leur dyslexie. Elle permet de développer la motricité fine, le repérage dans l’espace, la qualité du graphisme et la fixation de l’attention. Mais le point le plus important concerne l’évolution du développement intellectuel des enfants concernés. Chez ceux pour lesquels il a été possible d’évaluer les aptitudes avant et après l’emploi de cette pédagogie, on a souvent constaté une augmentation significative de leurs facultés, située dans une fourchette allant de 5 à 10 points de QI, parfois plus. Ceci est dû au fait que la méthode utilise des procédés qui permettent aux circuits cérébraux de se structurer et d’améliorer leurs connexions. Ce développement est bien évidemment d’une importance capitale pour l’avenir de ces enfants.

Utilisation de la méthode Fransya chez les enfants trisomiques ?.

Plus un enfant est en difficulté, plus la pédagogie utilisée doit lui simplifier la tâche et doit être proche des exigences du fonctionnement cérébral. La pédagogie créée et proposée par le docteur Wettstein-Badour répond aux attentes du cerveau en matière d’apprentissage de la langue écrite et optimise l’acquisition de la maîtrise de la lecture, de l’écriture et des premières bases de l’orthographe chez tous les enfants. Elle fait intervenir des exercices de motricité de latéralisation, de reconnaissance et d’orientation de formes, de discrimination des sons associés à une progression strictement alphabétique, un travail fait sur l’enrichissement du vocabulaire, la compréhension et l’entraînement au résumé de texte qui permet la structuration des circuits cérébraux essentielle au développement des aptitudes intellectuelles.

Chez tous les enfants en difficulté, et en particulier les trisomiques, il est vivement conseillé de faire pratiquer, avant de débuter l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, les exercices préparatoires détaillés dans « Bien parler, bien lire, bien écrire » (Editions Eyrolles). Les apprentissages ultérieurs en seront largement facilités.

Cette pédagogie a déjà été utilisée avec succès chez des enfants trisomiques (à condition que leur quotient intellectuel ne descende pas en dessous de 65-70 aux échelles de Wechsler). L’expérience montre que, chez ces enfants, il faut environ trois ans pour atteindre les objectifs fixés. Bien évidemment, le résultat final dépend du niveau intellectuel de départ de chacun. Chez certains d’entre eux, on peut espérer obtenir de bons résultats et même une augmentation du niveau des aptitudes intellectuelles. Mais pour ceux qui n’évoluent pas de manière significative en ce domaine, il est, en général, possible de constater une évolution positive de la motricité fine, de la capacité de repérage dans l’espace et de l’expression orale.

Utilisation de la méthode Fransya à l’école en Grande Section de Maternelle ?

L‘expérience prouve que l’utilisation de la méthode plurisensorielle Fransya à l’école lorsque l’enfant est en grande section de maternelle donne d’excellents résultats aussi bien en lecture qu’en écriture.

Les enfants s’y adaptent avec facilité et sont très heureux d’apprendre à lire et écrire « comme les grands ». Plus ils sont jeunes, plus il faut multiplier les exercices moteurs et plurisensoriels. La progression est moins rapide qu’en CP mais, très souvent, à la fin de l’année scolaire, plus d’un tiers de la méthode est assimilé. Le but n’est pas de savoir lire en fin d’année mais d’avoir acquis des savoirs qui seront très utiles aux élèves en CP.

La situation est idéale lorsque le maître de CP utilise lui aussi cette pédagogie. Il reprend la méthode à son début pour assurer les connaissances de bases et intégrer les enfants qui n’ont pas bénéficié de ce travail en GSM. Les enfants ne sont pas perturbés par cette reprise d’éléments connus. L’enseignant peut toujours augmenter la part du travail écrit chez les élèves les plus avancés. Les résultats enregistrés dans les écoles qui pratiquent de la sorte montre l’excellente qualité des acquis des enfants en fin de CP.

Utilisée à l’école en CP, la méthode Fransya d’apprentissage de la lecture et de l’écriture peut-elle être assimilée en une année scolaire ?

L’expérience des enseignants qui utilisent cette pédagogie dans leur classe en CP montre qu’ils la terminent habituellement vers le milieu du mois de juin.

La nécessité de devoir créer des circuits cérébraux de toutes pièces ou, - ce qui est beaucoup plus difficile - à partir de connaissances erronées, fait que les débuts de l’acquisition des apprentissages sont très lents car les premières connexions sont très difficiles à établir dans le cerveau. Peu à peu, les enseignants constatent une accélération du rythme des apprentissages particulièrement nette dans la seconde moitié de la méthode. Malgré ces difficultés de départ ils constatent l’intérêt que les enfants portent à cet apprentissage. Comme le disait un enfant dont l’enseignant utilisait cette pédagogie dans sa classe : « ce qui est bien avec mon maître, c’est que, dès le début, on apprend à lire pour de vrai » !

Les enseignants qui souhaitent avoir des informations plus complètes sur cette question peuvent prendre contact avec Fransya qui les mettra en relation avec des collègues utilisant cette pédagogie dans leur classe depuis plusieurs années.




-3°- témoignages de parents, d'enseignants, d'orthophonistes, de graphothérapeutes

.150111 - Madame BB -maman du Nord

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…/…. Je vous avais commandé, il y a quelques mois la méthode: " bien lire, bien écrire ", pour ma fille Evy qui a eu 6 ans en Décembre. Nous avons commencé la méthode en Septembre 2010, et je suis plus qu'émerveillée par le résultat!! Nous en sommes à la moitié et elle sait déjà très bien se débrouiller face à n'importe quel texte, c'est que du bonheur!! Ma fille n'a jamais été découragée, sa confiance grandit au fur et à mesure des leçons, c'est vraiment une excellente méthode




311210 - Madame LE - maman dont l'adresse m'est inconnue

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Il y a quelques mois, nous avions échangé les courriels ci-dessous. Je reviens vers vous pour vous tenir au courant des avancées de ma fille avec l'utilisation de la méthode de lecture de votre épouse.

Je suis émerveillée de voir que cela fonctionne et que ma fille commence à lire. Cette méthode est tout simplement géniale car elle est logique, tellement logique que ma fille en a compris le principe et avance presque toute seule en déchiffrant certaines choses que nous n'avons pas encore abordées, juste après m'avoir demandé le phonème correspondant au graphème. En résumé, tout ce qu'avait annoncé votre épouse se réalise.

De plus, bien que je n'ai rien inventé, c'est une fierté pour moi d'apprendre à lire à ma fille. Cela crée un lien supplémentaire entre nous et un moment chaque jour où l'on est sûres de se retrouver ensemble et d'en prendre le temps. Je n'ai aucun talent de pédagogue, j'apprécie donc que les instructions soient communiquées au maître dans le détail.

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.271110 - Mme MJ - maman à Tahiti


.../... Il y a tant de soins et d'amour dans la réalisation des ouvrages pour nos enfants de la part de votre épouse que nous ne pourrons pas l'oublier.

Grâce à "Bien lire, bien écrire, la méthode alphabétique et plurisensorielle Fransya" que vous m'aviez fait parvenir, notre petite Tahitienne a appris à lire dès 5ans 1/2 et est maintenant à 7 ans en CE2 .../....


010910 – Mme AB – maman en île de France

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…./…. « Ma fille ainée rentre en CM2 –aux USA, dans une école américaine. Elle a presque fait le premier livre d’analyse grammaticale, après avoir appris à lire sur votre méthode : le résultat, a 10 ans elle adore lire en anglais et en français. Elle a lu « les vergers de Versailles » de Mme Pietri il y a deux ans, et 4 tomes « les Colombes du Roi Soleil » cet été. » …./….

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270810 Mme AB – enseignante

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…/…. « Je profite de ce message pour vous dire que je suis très admirative de vos travaux (ndr : ceux du Dr Wettstein Badour). Je suis professeur des écoles en congé parental et la lecture de l'un de vos ouvrages m'a enfin apporté les réponses aux questions que je me posais depuis bien longtemps » …./….

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250810 Mme NH – enseignante de CP

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« L'année dernière j'avais un CP et c'était la 2ème année que je travaillais avec la méthode Fransya. Les parents et moi-même sommes enchantés ! Tous les élèves lisent ! Merci à votre femme, qui continue à travailler chaque jour avec nous ».

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230710 6 Mme ALP – maman de basse Normandie.

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…./…. Merci pour la qualité du manuel de lecture et d’écriture utilisé pour mon petit garçon de CP qui a fait de nets progrès et qui acquiert des bases solides. (Parallèlement à l’école ; la maîtresse utilisait une méthode semi globale).

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Mme MLP – maman de Champagne Ardennes

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J’aimerai commander votre méthode d’orthographe pour ma fille de 10 ans (elle rentre en CM2 en septembre) car elle rencontre de réelles difficultés.

En CP, elle a appris à lire avec une méthode semi-globale, et je désespérais à l’époque de voir qu’à Pâques elle n’était toujours pas capable de déchiffrer un mot simple. Elle lisait « fourchette » là où il fallait lire « cuillère ». Le « déclic » s’est produit au mois de mai du CP, trop tard.

Depuis elle accumule les retards, comprend les règles mais est incapable de les appliquer dans un contexte différent de celui appris en classe. Elle n’a aucune logique, ni structure référente pour écrire un mot. Elle a des difficultés à comprendre un énoncé dans sa globalité, elle passe souvent à côté d’une partie de l’exercice car elle ne va focaliser que sur un mot ou une partie de phrase.

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En septembre dernier, son frère est entré en CP. La première rencontre avec la maitresse (enseignante d’école publique de Champagne Ardennes) a été une révélation pour la maman que je suis. Tout au long de l’année mon fils a appris à lire avec votre méthode alphabétique pluri-sensorielle. J’ai découvert une méthode vraiment adaptée et très efficace. Afin d’aller plus loin, j’ai acheté votre livre « Bien parler, bien lire, bien écrire … », je l’ai dévoré en une soirée.

A Noël , mon fils déchiffrait déjà tous les écrits qui lui tombaient sous les yeux ; à Pâques, la lecture étant devenue fluide, il réclamait des livres de 150 pages, tellement il avait pris le goût à la lecture.

En fin de CP, il a acquis des automatismes et une logique que ma fille n’a toujours pas acquis à l’aube du CM2.

J’en ai parlé à la maitresse de mon fils qui m’a conseillé votre méthode d’orthographe.

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C’est pourquoi, j’aimerais vraiment aider ma fille en lui donnant l’accès aux mêmes méthodes et outils qui ont si bien réussi à son frère (même s’il lui reste encore beaucoup à apprendre).

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120710 – JC : enseignant en Rhône Alpes

..

… La méthode de lecture a été très efficace dans ma classe cette année. Même les enfants les plus en difficulté savent maintenant lire, même si pour certains, il reste encore du chemin à parcourir. En tout cas, ils ne jouent pas à la devinette durant la lecture, ont vraiment pris le goût de lire et comprennent les phrases qu'ils lisent.
Et pour tout cela, je remercie profondément votre épouse pour ce qu'elle a apporté à tous ces enfants.

…/ …Cette année, je vais atterrir dans une nouvelle école et, comme vous vous en doutez, les méthodes de lecture que j'ai pu trouver sont, pour la plupart, catastrophiques. Je souhaiterais donc pouvoir à nouveau acquérir cette précieuse méthode.
J'aurai une classe à 3 niveaux (GS-CP-CE1) composée de 10 CP. Serait-il donc possible de commander 1 méthode complète de lecture (livre du maître + livre de l'élève), ainsi que 10 livres de l'élève ? …/…

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020610 - VM - maman et enseignante de Suisse
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".../... J'ai entendu parler la semaine passée avec enthousiasme de la méthode "bien lire, bien écrire" par des collègues Français et des parents d'enfants handicapés.
Sur le net, j'ai lu que sa créatrice est récemment décédée.
Je ne la connaissais pas mais des parents reconnaissants m'ont vivement recommandé son ouvrage ..../.... Je pense chaleureusement à tous ceux auxquels Mme Wettstein-Badour manque. De savoir qu'elle va continuer à aider des enfants à découvrir le monde de l'écrit peut les toucher .../...."


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180410 MT – parents de Montréal dans la « belle province » du Québec

…../….. Je vous ai commandé la méthode "Bien lire, bien écrire" au mois de Mars pour mon fils en CP et les progrès sont stupéfiants…./….Nous sommes émus d'apprendre que votre épouse n'est plus, en effet vous faites parti de notre quotidien et êtes acteurs, même si nous ne vous connaissons pas personnellement, des progrès tant "scolaire" que de l'épanouissement récent de notre enfant…./….

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160310 - Ph D, enseignant en région centre

…/….. enseignant actuellement en CP, avec votre méthode " Bien lire, bien écrire " : BRAVO ! …/…

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130310 - C M enseignante de CP

…/ … Je tenais vivement à vous remercie pour votre méthode de lecture. Je l'utilise depuis le mois de septembre, pour mon CP, et c'est la 1ère année que tous mes élèves lisent. Depuis, j'en fais la pub autour de moi. Encore merci.…/…

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090110 - M JP - papa en région centre
j'utilise actuellement votre méthode alphabétique pour mon fils ..../.....
Votre méthode est rassurante et vraiment sans faille, merci pour les enfants ..../.....
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050110 – Mme MT M – près de Tizi Ouzou en Algérie (NDR : Bien lire, bien écrire s’adresse à tous les enfants à l’école ou à la maison – le présent témoignage met en évidence son efficacité y compris chez des enfants porteurs de handicap. En outre il est émouvant et c’est pourquoi nous le publions)

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En février 2007, j’ai reçu par l’intermédiaire de ma soeur la méthode Fransya : « Pour bien apprendre à lire et à écrire aux enfants » (ndr : titrée depuis décembre 2007 « Bien lire, bien écrire – la méthode alphabétique et plurisensorielle Fransya » )

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Aussitôt, j’ai commencé le travail en respectant « soigneusement les consignes …. » avec une fillette de 9 ans qui ne peut pas être scolarisée à cause d’un retard mental. En 1 an ½ , cette petite fille a parfaitement appris à lire, au rythme de 4 demi-journées de travail par semaine.

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J’habite en Algérie, près de Tizi Ouzou. Une psychologue a entendu parler de cette méthode et m’a envoyé un autre petit garçon qui la suit aussi.

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Dans la ville où je suis, 4 autres jeunes élèves s’y mettent également.

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Bien entendu ces gens ne peuvent pas faire venir les livres de France ( ndr : le dinar Algérien n’est pas convertible !) . Il serait donc nécessaire qu’on puisse les trouver sur place à Tizi Ouzou et à Alger où les libraires sont nombreux. Beaucoup de familles cherchent en effet à « aider » leurs enfants en difficulté scolaire ;

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Je tenais à vous signaler cette attente dans l’espoir de satisfaire ces demandes.

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Je tenais surtout à vous dire que ces deux manuels ont été bien bien utilisés et à vous remercier …/…

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241009 – Mme V LP, maman en Île de France de 3 enfants (7, 6 et 3 ans) et ancienne enseignante durant 20 ans en école maternelle.

…/… « j'utilise votre méthode de lecture, j'ai fabriqué tout le matériel pédagogique nécessaire, et je suis consciencieusement la progression à la lettre. pour « B » qui aura 6 ans au mois de décembre, l'avancée est vraiment rapide et efficace.
elle en est déjà au "ce » de cerise...." avec une écriture de rêve, et une belle réflexion dans la rédaction des dictées

Quant à « A », 7 ans (ce1), il a appris l'an dernier à lire à l'école avec une méthode à départ global. J'ai cependant cherché à l'aider avec votre livre, mais après une journée de classe, c'était trop difficile de le remettre régulièrement à l'ouvrage. Lorsque je cherchais à le faire "lire" il essayait de deviner. Depuis notre rentrée à la maison, j'ai évalué ses difficultés et nous avons repris la moitié du livre de CP.
C'est un bonheur que de le voir lire. Il prend de l'assurance et de la rapidité.
« C » a 3 ans , et je ne souhaite pas reproduire ce que j'ai pratiqué pendant 20 ans d'enseignement en maternelle. C'est pourquoi j'apprécie vos recommandations ! »…/…
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231009 – Mme M B enseignante des Pays de Loire en cycle 3 et maman d’une petite fille grande section de maternelle

…./… « ma fille «X » 5 ans ½ est en grande section et j’ai commencé votre méthode, elle en est à la leçon « an », « am » c’est formidable » …./…..

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211009 – Mme ML A – enseignante de CP depuis 10 ans en Rhône Alpes.

« Je voulais vous remercier pour vos articles (voir : http://oct2009-lecture-en-maternelle.blogspot.com ) car ils m’ont aidés à convaincre mes collègues de grande section de ne pas suivre "bêtement" les instructions officielles de l'Education nationale et de prendre un peu de recul dans leur travail sur la lecture. Elles s'obstinaient par exemple à apprendre le nom des lettres aux enfants car cela est demandé dans les Instructions Officielles alors que moi, en CP je me retrouvais avec des élèves qui écrivaient "rang" pour "rangé" puisque le G se prononce "gé" ou qui écrivaient "un bb" pour "un bébé", ce qui, bien sûr, était facile à corriger avec des enfants sans problème mais qui ne faisait qu'enfoncer un peu plus ceux qui avaient déjà des difficultés. Pour ma part, j'utilise plusieurs outils pour un apprentissage syllabique à 100% et aucun élève de notre école n'arrive en 6ème en ne sachant pas lire.

Merci donc pour les informations que vous transmettez et qui sont un support de qualité pour faire changer les choses.

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201009 Mme I D maman en Île de France de 2 jeunes enfants

…/…. « Je pratique votre méthode avec mon enfant qui est en GS : on progresse à tous petits pas mais ça y est, le déchiffrage se fait plus fluide à partir du « d ».

J’attendrai l’année prochaine pour celui qui est actuellement en MS ! Je constate en effet que ce dernier n’est pas prêt, surtout au niveau du graphisme : trait mal assuré. Je me contente de faire de la discrimination visuelle.

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201009 Mme S A maman à PARIS de 4 enfants de 9 à 14 ans

…/… « je ne peux que témoigner en faveur de vos méthodes : je suis mère de 4 enfants de 9 ans à 14 ans 1/2, et l'expérience des 3 aînées (dont des jumelles dizygotes) m'a fait prendre conscience des conséquences fâcheuses des méthodes appliquées en CP, et initiées en maternelle.

Je n'ai pu "corriger le tir" qu'à l'occasion de l'apprentissage de mon "petit" dernier (qui de plus souffrait d'un petit retard de langage accentuant nos préoccupations quant à l'apprentissage de la lecture et de l'écriture).

Étant des parents avec chacun une occupation professionnelle, il nous était difficile de mettre en oeuvre la méthode à 100%; mais en tout cas, ce que nous avons fait, dès les vacances qui ont précédé son entrée au CP a été bénéfique. Il nous a alors paru tellement invraisemblable qu'elle (ndr : la méthode) ne soit pas pratiquée dans les établissements : elle est tellement claire ! » ….

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011009 – Mme TN maman en Lorraine de deux enfants, l’aîné sortant de CP, le second de 5 ans commençant une grande section

« J’ai utilisé votre méthode de lecture avec mon fils aîné « X » dès le début du CP, alors que son maître utilisait une méthode globale…. » …. « Depuis septembre j’utilise votre méthode avec notre 2ème fils qui a tout juste 5 ans. J’en suis à nouveau ravie et je tenais à vous le faire savoir » …/…

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270809 – Mme Y DM maman d’un petit garçon de 5 ans ½ sortant de grande section de maternelle.

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…/… Nous souhaitions vous donner de nouveau des nouvelles de notre fils « E », aujourd'hui 5 ans et demi, depuis sa reprise de votre méthode l'hiver dernier, à sa demande.
…/… le rythme s'est pris tout seul, à sa demande : une page de lecture et une ligne d'écriture (copie ou dictée) par jour. Curieusement, bien que lisant lentement, il n'a jamais rencontré de blocage ou grosse difficulté, nous avons gardé vos explications, votre ordre, votre méthode. Il l'a aujourd'hui, avant sa rentrée au cp, presque terminée, il s'amuse déjà à lire ses livres personnels et ses magasines avec beaucoup de plaisir. La lecture "dans sa tête" lui est encore un peu plus difficile, car il a besoin du soutien du son de ce qu'il lit, mais il y parvient de mieux en mieux. Quant à la compréhension générale, elle a toujours été vérifiée et bonne, sauf pour les résumés : « E » se souvient étonnamment des moindres détails lus, mais ne sait pas encore bien résumer, dire l'essentiel. Pour lui tout est essentiel …/…

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200809 – M et Mme P Pays de Loire – parents de 3 enfants dont l’aînée sort de grande section de maternelle lors de leur commande de « Bien apprendre l’orthographe ».

…./… « Notre fille aînée vient de finir le livre d’apprentissage de la lecture et se jette désormais sur tous les livres qu’elle peut trouver à la maison pour s’entraîner à lire. Nous sommes très heureux de cet enthousiasme…./…

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230709 – extraits des messages des 22 et 23 juillet de Mme M A enseignant en Alsace (8 ans d'enseignement , dont 6 en CP, en zone sensible) lors d’un échange avec G Wettstein-Badour :

message 1 :

…./….J'ai été, dans l'ensemble, très satisfaite de la méthode que vous avez créé, mais y ai ajouté ou soustrait quelques éléments pour coller complètement aux demandes institutionnelles de l'Education Nationale. J'ai également diffusé les principes de votre méthode et ai réussi à convaincre quelques collègues de CP de l'appliquer en même temps que moi et nos échanges réguliers de pratiques ont été très fructueux …/…

message 2 :

…/…. essai de différentes méthodes de lecture ("R", "G", "M", "R", "Fransya"), seule votre méthode me semble la plus complète et la plus adaptée à l'apprentissage de la lecture et de l'écriture, c'est la méthode dont j'ai gardé l'essence, la seule qui a donné des résultats inespérés !.../….

message 3 : …/… merci à vous pour votre temps dans nos échanges et surtout pour avoir créé cette méthode innovante et réellement adaptée à l'apprentissage de la lecture et de l’écriture…./….


PS : pour la petite histoire : lors de mon congé maternité, j'ai passé le relais et tous les documents nécessaires à la mise en place de votre méthode à une remplaçante novice (sortant d'IUFM) qui s'est faite visiter par une conseillère pédagogique. Cette dernière, "choquée par cette méthode stupide qu'(elle) se jur(a) de faire disparaître de "sa" circonscription" - ce sont ses mots - , décida alors de faire passer des tests de lecture et d'expression écrite aux élèves de ma classe. Et bien, elle dut se rendre à l'évidence : cette méthode fonctionne plus que bien, car bien que ces élèves aient eu les résultats les plus faibles de notre école (5 CP) aux évaluations nationales d'entrée au CP, ils obtinrent les résultats parmi les meilleurs, en comparaison des autres CP dans lesquels elle fit passer des tests cette année ! …/…..

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220709 – M et Mme JW parents de Bretagne

Nous avons été très satisfaits de la méthode Fransya (Bien lire, bien écrire) et poursuivons notre démarche d’école à la maison avec nos deux enfants

Veuillez trouver ci-joint un chèque du montant correspondant à l’achat de la méthode « Bien apprendre l’orthographe » niveaux 1 et 2

Recevez Madame toute notre reconnaissance pour votre travail

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270809 – Mme Y DM maman d’un petit garçon de 5 ans ½ sortant de grande section de maternelle.

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…/… Nous souhaitions vous donner de nouveau des nouvelles de notre fils « E », aujourd'hui 5 ans et demi, depuis sa reprise de votre méthode l'hiver dernier, à sa demande.
…/… le rythme s'est pris tout seul, à sa demande : une page de lecture et une ligne d'écriture (copie ou dictée) par jour. Curieusement, bien que lisant lentement, il n'a jamais rencontré de blocage ou grosse difficulté, nous avons gardé vos explications, votre ordre, votre méthode. Il l'a aujourd'hui, avant sa rentrée au cp, presque terminée, il s'amuse déjà à lire ses livres personnels et ses magasines avec beaucoup de plaisir. La lecture "dans sa tête" lui est encore un peu plus difficile, car il a besoin du soutien du son de ce qu'il lit, mais il y parvient de mieux en mieux. Quant à la compréhension générale, elle a toujours été vérifiée et bonne, sauf pour les résumés : « E » se souvient étonnamment des moindres détails lus, mais ne sait pas encore bien résumer, dire l'essentiel. Pour lui tout est essentiel …/…

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200809 – M et Mme P - Pays de Loire – parents de 3 enfants dont l’aînée sort de grande section de maternelle lors de leur commande de « Bien apprendre l’orthographe ».

…./… « Notre fille aînée vient de finir le livre d’apprentissage de la lecture et se jette désormais sur tous les livres qu’elle peut trouver à la maison pour s’entraîner à lire. Nous sommes très heureux de cet enthousiasme…./…


230709 – extraits des messages des 22 et 23 juillet de Mme M A enseignant en Alsace (8 ans d'enseignement , dont 6 en CP, en zone sensible) lors d’un échange avec G Wettstein-Badour :

message 1 :

…./….J'ai été, dans l'ensemble, très satisfaite de la méthode que vous avez créé, mais y ai ajouté ou soustrait quelques éléments pour coller complètement aux demandes institutionnelles de l'Education Nationale. J'ai également diffusé les principes de votre méthode et ai réussi à convaincre quelques collègues de CP de l'appliquer en même temps que moi et nos échanges réguliers de pratiques ont été très fructueux …/…

message 2 :

…/…. essai de différentes méthodes de lecture ("R", "G", "M", "R", "Fransya"), seule votre méthode me semble la plus complète et la plus adaptée à l'apprentissage de la lecture et de l'écriture, c'est la méthode dont j'ai gardé l'essence, la seule qui a donné des résultats inespérés !.../….

message 3 : …/… merci à vous pour votre temps dans nos échanges et surtout pour avoir créé cette méthode innovante et réellement adaptée à l'apprentissage de la lecture et de l’écriture…./….


PS : pour la petite histoire : lors de mon congé maternité, j'ai passé le relais et tous les documents nécessaires à la mise en place de votre méthode à une remplaçante novice (sortant d'IUFM) qui s'est faite visiter par une conseillère pédagogique. Cette dernière, "choquée par cette méthode stupide qu'(elle) se jur(a) de faire disparaître de "sa" circonscription" - ce sont ses mots - , décida alors de faire passer des tests de lecture et d'expression écrite aux élèves de ma classe. Et bien, elle dut se rendre à l'évidence : cette méthode fonctionne plus que bien, car bien que ces élèves aient eu les résultats les plus faibles de notre école (5 CP) aux évaluations nationales d'entrée au CP, ils obtinrent les résultats parmi les meilleurs, en comparaison des autres CP dans lesquels elle fit passer des tests cette année ! …/…..

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220709 – M et Mme JW parents de Bretagne

Nous avons été très satisfaits de la méthode Fransya (ndr: Bien lire, bien écrire) et poursuivons notre démarche d’école à la maison avec nos deux enfants

Veuillez trouver ci-joint un chèque du montant correspondant à l’achat de la méthode « Bien apprendre l’orthographe » niveaux 1 et 2

Recevez Madame toute notre reconnaissance pour votre travail

140709 – Mme ADD du Sénégal.

Je suis un parent d’élève qui réside au Sénégal. J’ai déjà acheté par l’intermédiaire d’un libraire de mon pays 2 de vos ouvrages (Bien parler, bien lire, bien écrire, donnez toutes leurs chances à vos enfants et les volumes du maître et de l’élève de Bien lire, bien écrire). Je voudrais cette fois acquérir les deux tomes de « Bien apprendre l’orthographe – la méthode interactive et structurante Fransya »

…/…..

Je ne peux pas terminer sans vous féliciter pour ces ouvrages qui apportent beaucoup d’aide à nos enfants…./…

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210609 – Mme AG maman des pays de Loire

../..

Je vous commande la méthode Fransya « Bien lire, bien écrire », ainsi que votre livre « Bien parler, bien lire, bien écrire ».

Notre sixième enfant a eu la chance de bénéficier de votre méthode au sein d'une école que nous devons à regrets quitter, et je suis heureuse de pouvoir ainsi en faire bénéficier son petit frère…/….


090309 – Mme FD maman d’Aquitaine,

« …/….

J'ai commencé votre livre le 10 mars 2008 lorsque ma fille « X » a eu 5 ans. Cela fait maintenant un an, elle aura 6 ans bientôt, et se trouve en grande section de maternelle. Nous avons presque fini le livre et elle lit très bien, bien que nous y passions finalement assez peu de temps, s'agissant d'une activité qu'elle fait avec moi, en plus de l'école, et sur la base de son volontariat. Ayant 4 autres enfants à m'occuper, elle lit environ 3 fois par semaine avec moi.

J'ai appris à lire à mes 2è, 3è et 4è enfant (la 1ère ayant essuyé avec dommage les aléas de (NDR : une semi globale célèbre). Je ne connaissais pas votre méthode à l'époque.

Ayant donc plusieurs bases de comparaison, je peux confirmer que je trouve votre méthode remarquable, très bien conçue et très efficace. Je vous remercie vraiment de l'avoir créée.

…/….

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080309 – Mme CL enseignante et maman de Champagne-Ardennes,

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Voici quelques nouvelles de ma classe de cp.

J'ai effectué des évaluations à chaque période de l'année et j'ai constaté des progrès considérables lors de l'évaluation en lecture-écriture-compréhension du mois de février.
Sur mes 22 cp, je compte 18 très bons lecteurs, qui ont assimilés tous les sons rencontrés. La majorité de ces élèves lisent des petits livres et arrivent à trouver seuls les sons qu’ils ne connaissent pas encore !


Mes quatre élèves en très grosses difficultés au départ, progressent à leur rythme, mais sont encore loin du niveau des autres, qui ont une lecture presque fluide.
Sur ces 4 élèves, je pense que 3 atteindront les compétences requises pour aller en CE1. Par contre un enfant en grande difficulté qui avait fait des progrès, a de plus en plus de mal à s'accrocher et à écouter, il se couche tard le soir et dort en classe le matin, c'est un réel problème, car le retard s'accumule, et après un deuxième CP, c’est plutôt inquiétant.

…/…

J'ai oublié un point encore positif ! Moi aussi, j'ai des élèves très calmes et très attentifs, et je suis convaincue que cette méthode participe à un climat de classe serein. D'ailleurs, lors de mon inspection en octobre, l'inspectrice avait constaté un climat propice aux apprentissages, et ce n'était pas la seule à s'en rendre compte (je travaille la porte ouverte, c’est vous dire si c’est calme !!)

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Je change de casquette et je redeviens une maman. J’ai mon fils dans ma classe et là c’est encore plus spectaculaire ; son envie de lire et comme dit mon époux, sa curiosité à décrypter le monde à travers l’écrit lui donne des ailles.
J'ai vu l'édifice se construire pas à pas, il a fourni des efforts pour apprendre à lire, et c'est capital, car c'est un enfant qui avait une vision globale des choses, et avait du mal à passer par des étapes pour arriver au résultat. En effet, ses réponses étaient correctes, mais il n'arrivait pas à expliquer comment il avait fait. Avec votre méthode, il a appris à apprendre, à fournir des efforts pour se construire et construire son savoir.
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7 mars 2009 – AC grand-mère d’Île de France

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…./…. A l'époque où votre méthode n'était encore présentée qu'en polycopiés, mon mari en avait acheté un exemplaire pour un de nos petit-fils qui avait alors 5 ans. Sa mère l'a conduit récemment chez une orthophoniste …/…. Celle-ci lui a dit que l'emploi de votre méthode avait presque entièrement corrigé ou empêché la dyslexie de ce garçonnet (qui vient d'avoir 7 ans) et qu'il fallait continuer à le faire travailler régulièrement avec. Donc, merci, …/ …. »

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6 mars 2009 – NL enseignante en Midi-Pyrénées

« …/ ... C'est moi qui vous remercie pour tous vos ouvrages, vous avez expliqué clairement ce que je constate depuis plus de 10 ans travaillant avec les enfants et adultes en " difficultés scolaires" .Sur le terrain je pratique la méthode alphabétique depuis toujours et tous vos livres détaillent vraiment mon expérience quotidienne .Ils sont d'un grand support pour ne pas se sentir seule dans un environnement "globalisé" en permanence…/… »

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4 mars 2009 - M FF papa de jumeaux en Île de France
".../...La méthode est remarquable ! Je n’ai toujours pas compris avec une leçon par jour comment arrivent ils à ce résultat. ? Mi-octobre (1) les garçons lisaient la dernière page de leur livre de lecture ! Que dire ? Bravo ! Merci pour tout et vos explications concernant notre cerveau"
(1) Précisions du papa : L’apprentissage s’est déroulé entre 1er avril 2008 et octobre 2008 – 35 mn par jour d’avril à juin (sauf vacances scolaires) - 1h en moyenne en juillet et août (plus de temps, donc plus d’explications et surtout de débordement !!!) je préfère !!!
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4 mars 2009 – lu ce commentaire qui nous a été signalé sur AMAZON (voir lien ci-dessous)

" Après huit méthodes d'apprentissage de la lecture, voici enfin un outil sérieux, digne de nos enfants... même handicapés mentaux ! Ces enfants qui sont souvent très "affectifs, visuels" n'ont aucune image dans cette méthode ce qui permet d'avoir une concentration maximale et du résultat. L'Implication des parents dans de telles conditions est un vrai plaisir, car la réussite de l'enfant donne du bonheur.
Et pour l'avenir, un enfant handicapé qui sait lire et écrire, a des opportunités d'insertion professionnelle, sociale, et une relation familiale affermie par les lettres.
Bravo Madame Badour ! Chapeau bas."

http://www.amazon.fr/review/R2D2WX0C0MH6HO/ref=cm_cr_pr_cmt?ie=UTF8&ASIN=2212539657&nodeID=#wasThisHelpful

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11 février 2009 – Mme MM maman de Provence Côte d’Azur

" Mon fils a acquis la maîtrise de la lecture grâce en partie à votre méthode que je lui enseignai en symétrie avec la méthode « X » enseignée à l'école. Votre méthode m'ayant largement convaincu notamment au niveau de la logique d'apprentissage. C'est donc naturellement vers vous que je me tourne pour pallier les déficiences de l'enseignement de l'orthographe à l'école "

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25 janvier 2009 - Madame NR – maîtresse de CP en région centre

"…/… Je tiens à vous remercier pour votre formidable ouvrage sur la lecture et l'écriture. Mes Cp savent tous lire et écrire parfaitement sans une erreur. Et de plus ils sont plus calmes que les autres Cp (un autre collègue qui fait de la globale). Votre méthode les apaise en quelque sorte....ils réfléchissent !.../…"

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24 novembre 2008 – Madame LF, maman du Nord , Pas de Calais
" J'ai appris à lire à deux de mes filles avec la méthode de lecture et j'en suis vraiment très satisfaite. Nous habitions La Réunion et l'instituteur m'avait recommandé de compléter ses cours par une méthode plus "alphabétique". De retour en métropole, l'institutrice était frappée du niveau de lecture de « X ». Elle a même obtenu le prix de lecture en CE1.
Bravo."
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21 novembre 2008 : Madame BH, maman de midi Pyrénées
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pour ses deux enfants : « X » une fille et « Y » un garçon
âgés de 8 et 7 ans
scolarisés en CE2 et CE1
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début apprentissage : grande section (2006) et moyenne section (2006)
fin de l’usage de la méthode : 2007
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résultats obtenus
lecture fluide
ponctuation respectée
intonation bien adaptée
bonne compréhension des textes
l’enfant peut résumer le texte lu
l’enfant a acquis le goût de lire
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la méthode a beaucoup favorisé l’acquisition de l’écriture et des premières bases de l’orthographe
les enfants ont manifesté de l’intérêt pour cet apprentissage, ont aimé leur livre en le prenant avec plaisir, ont participé activement au début aux exercices moteurs, sensoriels et de latéralisation
Ils n’ont exprimé aucun regret concernant l’absence d’images
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En tant que parent : Merci pour cette méthode qui est super. Mes enfants savent bien lire et sont bons en orthographe
.20 novembre 2008: voir deux commentaires sur le site amazon.com dont l'un du 20 novembre
9 novembre 2008 : Madame AM, maman en Île de France
.« …./…. J'en profite pour vous dire, que la méthode a été très bénéfique à « X » du point de vue dictée ! elle a soudainement compris comment couper les mots dans une phrase, elle n'écrit plus en continue et il me semble que c'est moins phonétique »
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30 septembre 2008 : Madame ME, maman en Île de France
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…/… Ma fille, « Z », (bientôt 6 ans), a appris à lire, à la maison, avec votre méthode d'apprentissage de la lecture l'année dernière en grande section de maternelle. Cette année au CP, la maîtresse a été très étonnée de constater qu'elle savait lire et même des phonèmes "compliqués", alors que, ayant été suivie pendant ses années de maternelle par le RASED et ayant eu des séances d'orthophonie l'année dernière, ma fille aurait du présenter de grosses difficultés d'apprentissage de la lecture (selon l'Éducation Nationale). « Z » adore lire et commence à lire "en entier" des petites histoires (une trentaine de pages) seule…/…
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28 septembre 2008 : Madame NH, enseignante en Île de France
…/….Je suis une jeune professeur des écoles. J'habite et je travaille dans la région parisienne.
L'an dernier j'ai utilisé la méthode Fransya pour l'enseignement de la lecture à mes CP. Tous ont appris à lire et à écrire, sans confusion de sons, même les élèves en difficulté (une dyslexique et un enfant qui était proposé au redoublement en grande section de maternelle !). Les parents étaient ravis et plusieurs d'entre eux ont vu une grande différence de qualité de lecture entre le petit et le frère ou la soeur ainé(e) qui a bénéficié de la méthode mixte quelques années plus tôt. Certains veulent même que les petits frères et les petites soeurs soient dans ma classe dans quelques années pour apprendre à lire avec moi …./….
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26 septembre 2008 : Madame RD, grand-mère en Île de France
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…/…..Ma petite fille âgée de 6 ans et demi dont je m’occupe une semaine sur deux a appris à lire avec votre méthode. Chaque leçon était comme un tiroir ouvert à l’aide d’une clef. Elle lit bien, comprend ce qu’elle lit et peut faire des petits résumés…/….
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27 août 2008 : Madame NF, enseignante de CP en Alsace
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…./….J'ai mis en oeuvre votre méthode de lecture dans ma classe de CP lors de la dernière année scolaire (ndr : 2007/2008). Les résultats sont tout à fait satisfaisants notamment pour les élèves les plus faibles. Cette méthode a également été très rassurante pour les parents qui ont eu l'impression de retrouver une méthode semblable à celle avec laquelle ils avaient eux mêmes appris à lire…./….
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22 juillet 2008 : Madame OP, maman et enseignante de Picardie
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Ayant eu l’occasion de vous rencontrer lors d’une réunion de formation, je vous avais acheté la méthode de lecture (ndr : « Bien lire, bien écrire – la méthode alphabétique et plusrisensorielle Fransya ») afin de bien apprendre à lire et à écrire à mes enfants. C’est une grande réussite, merci.Ils entrent en CE1 et j’aimerais connaître le prix de votre méthode d’orthographe afin de leur faciliter les apprentissages
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5 juillet 2008: Madame L de Lausanne de la part de FJ, maman de Suisse
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«…/…Votre livre «Bien lire, bien écrire» a rendu service à une famille dont la fille de 9 ans peinait dans la lecture. Le fait de reprendre depuis le début lui a permis d'avancer rapidement, et cela l'a encouragée. Ce qui est remarquable, c'est qu'auparavant, elle se débrouillait à sa manière (peu efficace) et que grâce à l'apprentissage alphabétique, elle a pris plaisir au décodage. Ce qui compte, enfin vous le savez, c'est le contenu et non pas les fioritures colorées et les images inopportunes dont les mauvais pédagogues abusent pour faire ludique. Elle ajoute encore que leur fille a eu grand plaisir décoder les parties "trop faciles", ce qui l'a beaucoup aidée pour la suite …/…»
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28 juin 2008 : Madame FB, île de France, qui a fait travailler un jeune adulte ayant des aptitudes mais en déshérence en lecture et écriture pour lui permettre de réussir dans un emploi qu’il venait de décrocher aux USA. Il était impératif de réussir pour éviter un échec et un retour rapide en France.
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« Je vous remercie encore pour cette merveilleuse méthode ; mon filleul a eu l’esprit pacifié, éclairci à vue d’œil »
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16 juin 2008 : Madame EdR, maman d’île de France
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.…./… Voilà trois ans j'ai décidé d'utiliser votre méthode pour apprendre à lire à mes enfants.
G (8 ans) et maintenant T (6 ans) bénéficient avec succès decette méthode…/…
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11 juin 2008 : Madame SV, maman de CORSE
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…/…. J'ai acquis en octobre 2007 votre ouvrage "Pour bien apprendre à lire aux enfants" (méthode FRANSYA) (NDR : titrée depuis novembre 2007 et son édition chez Eyrolles : Bien lire, bien écrire – la méthode alphabétique et plurisensorielle Fransya) ; mon fils passe en CP cette année avec d'excellentes appréciations en lecture et écriture et sait déjà lire...je n'ai pas du tout terminé le programme, nous sommes en train d'étudier la leçon EFF, ELL...Sur vos conseils, je progresse très lentement car tout doit être acquis parfaitement. Plusieurs mamans m'ont demandé quelle méthode j'utilisais...elles ont commandé le livre, convaincues du résultat ! J'ai également une petite fille de 4 ans qui passe en grande section, je ne lui fais faire pour l'instant que de la discrimination auditive, ça l'amuse énormément ! Cette méthode d'apprentissage de la lecture m'a demandé beaucoup d'investissement (préparation des lettres, des exercices d'identification des formes etc....) mais le résultat est tellement magique...mon fils de 6 ans a déjà assimilé quelques notions de base en grammaire ! …./….
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27 mai 2008 : Madame DM, maman d’Ile de France
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".../... Je ne dirai jamais assez à quel point je trouve votre méthode excellente, douée d'une immense logique, répondant à tous les aspects importants de l'apprentissage, dans un ordre qui a été étudié magnifiquement bien, et je ne comprends toujours pas comment on peut proposer encore à des enfants des méthodes, même syllabiques, mais sans la moindre logique .../..."
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11 mai 2008 : Madame GP, maman d’Aquitaine
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"…/… Avant de vous apporter mon témoignage, je souhaite me présenter brièvement. Mère de sept enfants, j'ai enseigné à cinq d'entre eux par le moyen de l'école par correspondance, de la GS à la 5ème. Ils ont tous appris avec une méthode syllabique et s'en sortent tout à fait bien maintenant. ... encore que l'on ait reproché, ce qui est tout de même incroyable, à mon aînée qui est en TL d'écrire trop bien !! "Ce n'est plus comme cela qu'il faut s'exprimer aujourd'hui " lui a aimablement signifié son professeur de Français !! "

Fatiguée, après ces dix années de labeur quotidien, j'ai décidé d'apprendre à lire à mon avant-dernière, avant d'entrer en CP, pensant naïvement qu'elle serait ainsi à l'abri des dégâts qu'engendre la globale. C'est ce que j'ai fait sur une année avec la méthode « X » et l'écriture simultanée bien sûr. C'était en 2005. A la réunion de rentrée de CP, la maîtresse a expliqué "qu'avec une méthode purement syllabique, c'est bien connu, on n'apprend pas à lire ! " Ah bon ! Elle utilisait donc une méthode globale additionnée du langage gestuel pour les sourds-muets et puis de je ne sais plus trop quoi de phonétique !

Cette année de CP, j'avoue n'avoir pas fait malheureusement attention à la lecture de ma fille. Elle savait bien lire et comprenait ce qu'elle lisait avant d'y entrer, j'étais donc rassurée et je remarquais simplement l'inanité et le manque total de rigueur dans l'apprentissage. Je me voulais optimiste...et j'eus tort.

Son année de CE1 fut d'une pauvreté intellectuelle indescriptible : nous passions nos soirées, (la pauvre !), "à faire du bled ", de la grammaire et des dictées sur de beaux textes. C'est à ce moment là, en voyant les fautes monstrueuses qu'elle faisait que j'ai été réellement inquiète ! Alors je l'ai invitée à lire elle même les histoires du soir.
Quel n'a pas été mon étonnement !! Elle lisait très vite, nerveusement, ne comprenait presque rien et de plus, phénomène étrange que je n'avais jamais observé chez aucun de mes enfants, elle inventait des mots !!! Comment était-ce possible puisqu'elle savait lire ?

…/… Alors j'ai cherché comment nous en sortir….. et j'ai trouvé votre ouvrage " Bien parler, bien lire, bien écrire – Donnez toutes leurs chances à vos enfants" …/… cette lecture m'a permis de reprendre courage, étant donné que s'ajoutait à cela, les problèmes pour son petit frère que j'avais mis en MS (seulement le matin) pour pouvoir me reposer, mais où je voyais bien qu'on enseignait la globale en toute liberté.

En cette rentrée 2007, je l'ai tout de même inscrit en GS car je ne me voyais pas refaire l'école à la maison .Je me suis appliquée tous les soirs à faire votre méthode que j'avais achetée en décembre 2006 et que j'avais donc eu le temps d'étudier sérieusement. Malheureusement ça ne s'est pas bien passé !! …./…., il n'a pas fait la part des choses entre l'enseignement de l'école et celui de la maison. Il trouvait tout trop dur, il trouvait qu'il y avait trop de mots à lire et comme il fallait faire un effort pour bien déchiffrer chaque mot lentement, il refusait et me lisait le début du mot puis inventait la suite! De plus j'ai trouvé extrêmement difficile d'obtenir une demi-heure de concentration, même un quart-d'heure après la classe et une journée remplie, beaucoup plus d'excitations diverses que de réels apprentissages .

J'étais désespérée. Finalement, aux vacances de Noël, nous les avons retirés tous les deux... pour reprendre ce que je n'aurai jamais dû arrêter.

A ce jour c'est la résurrection ! Nous avons tout repris au début et je n'ai plus besoin de me battre; nous travaillons dans la joie ! C'est la meilleure méthode que je connaisse parmi celles que j'ai expérimentées et mes remerciements n'en sont que plus chaleureux. Il ne se plaint pas du tout de l'absence d'images et veut toujours savoir ce que l'on va apprendre demain ! Il est ravi de pouvoir enfin lire les jours de la semaine (sauf pour l'instant mercredi et jeudi), car à l'école il devait mettre les étiquettes dans l'ordre !! sans savoir les lire !! )
Toute la famille remarque chez lui une très bonne élocution et une vivacité d'esprit surprenante.
Il dit souvent " je suis sûr qu'à l'école ils ne savent pas lire tout ce que je lis !" A quoi je lui réponds "s'ils avaient tous cette si bonne méthode, ils feraient aussi bien que toi: et puis tu sais, malheureusement ce n'est pas leur faute "
Et lui de me répondre " Et bien moi, je trouve que "c'est pas bien !» et que "c'est pas juste ! "Comme il a tristement raison...

Quant à sa soeur, après de patients efforts de lectures quotidiennes et travaillées, elle progresse énormément depuis ces quatre mois, ne fait plus que 2 ou 3 fautes à ses dictées (et des vraies !) et retrouve le goût des beaux textes avec son cours …/…

La grande déception, devant le triste néant du contenu des programmes, au collège comme au lycée nous fait beaucoup souffrir, mais au moins, nous aurons fait tout ce qui est humainement en notre pouvoir, pour donner à nos enfants les bases si élémentaires pourtant de savoir bien parler, bien lire et bien écrire …/….
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8 avril 2008 : Madame VN, maman de Bretagne
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…/…. J'ai utilisé avec profit et plaisir la méthode FRANSYA pour apprendre à ma petite fille à lire et à écrire avant son entrée en CP. J'ai trouvé la méthode très efficace et facile à utiliser. L'enfant prend rapidement confiance, car les acquisitions de connaissance sont progressives et donc solides. Ma petite fille est maintenant en cours préparatoire et lit couramment. Comme elle commence à rédiger de petites histoires, se pose le problème de l'apprentissage des règles d'orthographe. Je souhaiterais donc prolonger cette très fructueuse expérience avec votre méthode "Bien apprendre l'orthographe: la méthode interactive FRANSYA" …/….
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22 mars 2008 : Madame CM, maman de la région centre
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« …Merci pour votre méthode de lecture, cela a sauvé ma seconde fille maintenant je continue avec la méthode de l'orthographe …/… ».
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6 février 2008 : Madame CL, maman de Midi-Pyrénées
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« …/…J'utilise actuellement pour mes deux enfants (niveau CP et CE2) instruits à la maison votre méthode Bien lire Bien écrire que je trouve excellente et qui plait beaucoup à mes enfants (mon fils au CP ne parvenait pas à s'intéresser à l'apprentissage de la lecture/écriture, et ma fille au CE2 ne se sentait pas en sécurité dans sa lecture et montrait plusieurs lacunes en écriture, elle avait fait son CP à l'école avec une méthode mixte). On est reparti à zéro et grâce à votre méthode ils avancent en confiance et sont conscients et fiers de leurs progrès.
Je vous remercie donc vivement pour votre méthode!
Je vous écris également car je souhaiterais commander votre méthode Bien apprendre l'orthographe niveau 1. pourriez-vous m'en indiquer le prix et comment je peux vous la commander ?
Je vous remercie d'avance pour votre réponse…/… »,
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25 janvier 2008 : Madame ME, maman d’Île de France
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…/…je vous ai acheté la méthode d'apprentissage de la lecture cet automne. Ma fille a tout de suite adopté la méthode, même si le livre ne comporte pas d'illustration cela ne semble pas la perturber. Nous en sommes à la lettre "b". Elle a fait également de gros progrès en écriture. Elle a découvert également l'omniprésence de l'écrit et s'amuse à déchiffrer tout ce qu'elle trouve. Mais ce qu'elle affectionne le plus, c'est chercher dans le dictionnaire les mots rencontrés dans la leçon et qu'elle ne connaît pas (ou pas bien). Son frère (trois ans et demi) bénéficie de vos conseils pour le graphique et la différenciation sonore. Nous jouons aussi beaucoup avec les cartes-lettres (les voyelles): jeu de la soupe aux lettres, la marchande de lettres...et on peut jouer tous ensemble avec sa soeur. En résumé, c'est une méthode que je conseille autour de moi...et je ne regrette pas mon achat : quel plaisir de voir ses enfants épanouis! Bonne continuation
ME
PS : je vais prochainement acheter votre ouvrage "Bien parler, bien lire, bien écrire - Donnez toutes leurs chances à vos enfants"...car il y a encore un petit qui suit (actuellement 2 ans) et qui commence à parler...alors autant adopter la bonne approche!
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24 janvier 2008 : Madame IE, maman de Poitou-Charentes
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…/… bravo pour cette méthode formidable qui a sauvé « X » du naufrage. Il poursuit son CE2 avec courage et un grand désir de bien faire. Son retard de lecture se comble peu à peu. Sa formidable maîtresse est très exigeante, très axée sur l'expression écrite, la grammaire, l'orthographe. Ce sont des domaines difficiles pour « X » à cause de ses lacunes mais il rattrape progressivement le temps perdu…./… Merci de nous avoir ainsi aidés…/… Je ne comprends pas que l'éducation nationale n'ait toujours pas évacué cette méthode globale désastreuse...
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23 janvier 2008 : Madame VT, maman de Poitou-Charentes

…/…merci pour tout votre travail qui me guide chaque jour dans l’apprentissage de la lecture, de la grammaire, de l’orthographe et de la conjugaison avec mes enfants. Nous avons cinq enfants ( 8 ,6 ,4 ,2 et 1an). Je commence votre méthode d’apprentissage en grande section pour anticiper sur le CP où la maîtresse a « R » comme méthode. C’est une grosse école, je me demande pourquoi on utilise encore une méthode aussi confuse et peu logique …/…
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21 janvier 2008 - posté par I G, une maman, sur le site web « lire et écrire »
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D est en CM1 à présent. En petite section de maternelle, elle a réclamé d'apprendre à lire. J'ai cherché une méthode de lecture et par hasard, j'ai entendu parler de la méthode Fransya. J'ai hésité à commencer en moyenne section bien qu'ayant acquis la méthode. Elle a démarré l'apprentissage de la lecture via la méthode, en grande section. En trois mois, elle a appris à lire. Sa lecture a été très rapidement fluide et elle mettait l'intonation. De plus, la méthode introduit des notions de grammaire sans s'en apercevoir. Elle est excellente en français et en orthographe. Lire avant le primaire, lui a permis d'être confiante en elle. C'est une très bonne élève. Elle écrit même des petits romans, qu'elle illustre et édite sur l'imprimante familiale avant de les faire lire à tous ses copains et copines. Certes, la méthode n'est pas ludique (pas d'illustrations) mais progressive (à chaque leçon, on apprend une nouvelle lettre ). Des mots, des phrases se composent au fur et à mesure. J'ai aidé des petis voisins en difficulté de lecture. Ils me réclamaient le "grand livre sans images". Ils ont beaucoup progressé et surtout, ont appris à ne plus deviner les mots mais à les déchiffrer et les lire …/…. .
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21 janvier 2008 : Madame PF, maman en Midi Pyrénées d’un petit « X » de 8 ans, a eu la gentillesse de nous communiquer le lien de son blog sur lequel elle a publié le 18 janvier 2008 le très beau message suivant destiné à ses amis:
« 9 mois...
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ll s'est renversé en arrière, s'allongeant sur le lit, un sourire éblouissant aux lèvres, les yeux mi-clos de bonheur...puis, il s'est relevé et un petit rire a éclaboussé sa frimousse, dégringolant en cascade vers mon coeur de maman : "t'as vu, maman ? j'ai réussi !!"
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Il lui a fallu 9 mois
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9 mois de travail, pour reprendre à zéro les bases de la lecture ;
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9 mois pour se débarrasser des (très mauvais) réflexes acquis avec cette p***** de méthode semi-globale à laquelle il ne comprenait rien ;
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9 mois pour voir s'envoler les oiseaux de mauvais augure qui ont assombri son ciel l'année dernière ;
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9 mois pour faire taire les sombres et trop rapides prédictions d'échec scolaire, les remises en cause de son intelligence et du niveau social de notre famille pour cacher l'inefficacité des méthodes choisies ;
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9 mois pour qu'il retrouve la confiance et la sérénité, brisées en quelques semaines de CP ;
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9 mois pour qu'il se croit à nouveau digne d'y arriver, lui aussi...
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Ce soir, alors que je m'apprêtais à leur lire l'histoire de "Heidi à la ferme", il a entrepris de me prendre le livre des mains. "A moi, maman...". Il se concentre, et puis, démarre : première page, deuxième page...il y a bien quelques accrocs (nous n'avons pas encore vu tous les phonèmes) mais il y arrive sans souci majeur. Mieux, il s'autorise même la fluidité et la rapidité ! C'est la première fois qu'il prend l'initiative de lire, qu'il n'a pas peur de ne pas y arriver (mais je l'avais pressenti cet après-midi, en le voyant prendre le livre préféré de sa soeur, et le parcourir du doigt en lisant à voix basse). Et quelle fierté dans ses yeux ! Il s'est couché sourire aux lèvres, et à n'en pas douter, le coeur léger du fardeau enfin déposé. Allégeant du coup mon coeur de maman, récompensé de l'avoir protégé et défendu, d'avoir cru en lui et refusé de l'enfoncer, d'avoir pressenti ce qui clochait vraiment, de lui avoir donné la possibilité d'une autre ambiance d'apprentissage, d'une autre méthode, d'une autre pédagogie en choisissant l'instruction en famille malgré la peur et les nombreux obstacles ;
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Que n'ai-je appris, moi, en 9 mois ! tout un monde...toujours et encore guidée par mon fils, merveilleux petit guide, m'obligeant depuis 7 ans et demi à me dépasser. Avec tous mes remerciements à la créatrice de la méthode de lecture Fransya, le Dr Wettstein-Badour, à mes amis (et tout particulièrement, à ma Princesse-petits-pois grâce à qui tout a semblé soudain possible), à ma famille et tous ceux qui nous ont soutenu sans réserve, à cette formation où j'apprends tant, si humainement, si humblement mais si joyeusement…./….. »
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17 janvier 2007 - témoignage de MP, enseignante en Pays de Loire dont nous avons pris connaissance ce jour sur le web : voir le lien ci-dessous
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14 janvier 2007 – Mme TS - maman de Lorraine travaillant d’une part avec son aîné X actuellement en CP et son cadet Y de 3 ans
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« Retour d'expérience positif sur votre méthode.
Je vous ai acheté votre méthode de lecture en début d'année scolaire, fin septembre 2007.
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Mon fils qui entrait en CP dans une nouvelle école, avait eu la chance d'être bien préparé par la maîtresse de grande section, et par moi-même, il savait déjà lire quelques syllabes.
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Mais j'étais assez catastrophée par la méthode du maître de CP (un jeune maître qui applique manifestement ce qu'on lui a appris à l'IUFM), il leur disait d'apprendre par cœur certains mots, faisait très peu de syllabes, introduisait des tas de mots avec des lettres muettes, des mots avec l'image correspondante à côté etc …/….
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Nous sommes donc très contents d'avoir la chance de poursuivre l'apprentissage de la lecture avec votre méthodeméthode.Mon fils X suit donc les 2 méthodes en même temps. Il râle un peu, car cela prend un peu de son temps de jeu, mais il a bien compris que c'était important.
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Nous avons à nouveau déménagé en décembre, et X a fait sa rentrée des classes en janvier dans une nouvelle école. J'avais espoir que la méthode employée serait mieux.... Malheureusement, après J (ndr : méthode mixte bien connue), nous avons droit G (ndr : autre méthode mixte célèbre).
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…/… X sait maintenant lire à 90%. Il dévore les livres que nous prenons à la bibliothèque, et se régale avec les Tintins qu'il lit patiemment à son petit frère de 3 ans ! (Je le limite à 1 BD à chaque emprunt de livres à la bibliothèque, pour qu'il garde le goût de la lecture de vrais livres).
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Son petit frère de 3 ans, en petite section, adore les livres. Il a une bonne mémoire et se souvient de tel ou tel livre emprunté plus tôt. Il répète les syllabes quand son frère les lit. Nous faisons aussi la méthode pour lui, juste la partie reconnaissance des graphismes.Bien évidemment nous continuerons la méthode Fransya avec lui.
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Je viens de commander votre livre Bien parler, bien lire, bien écrire – Donnez toutes leurs chances à vos enfants . Nous voulons également mettre toutes les chances de son côté. Voilà, après 3 mois d'utilisation, je voulais vous dire que je suis trés contente de votre méthode …/….
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16 décembre 2007 – Mme FN maman de l’IDF ayant fait travailler ses filles avec les méthodes de lecture-écriture et d’orthographe.
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…/ … la cadette « X », (qui) a été la première à bénéficier de votre méthode lecture-écriture.
Son apprentissage a été très rapide, au cours de sa grande section de maternelle ; la méthode a été débutée en octobre au rythme de 2 à 3 leçons de ¾ h par semaine (je travaille tard les autres soirs) et en mars (pour ses 6 ans) elle se sentait à si à l’aise qu’elle lisait seule de petits romans à voix haute et en silence.
…./…. nous sommes passés à l’orthographe (niveau 1) en fin de maternelle et en CP.
Je débute avec la benjamine « Y » la méthode de lecture-écriture mais avec quelques difficultés de discrimination auditive. Je vais tenter d’y remédier pendant sa grande section et avant d’avancer plus loin en lecture et écriture.
Il est très important à nos mes yeux de savoir dans quel sens prendre les petits et les gros problèmes d’apprentissage de nos enfants et l’aide que vous nous apportez est plus que précieuse…/….
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14 décembre 2007 – M AH – enseignant en CP/CE1 dans une école publique d’Alsace
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…/ …. Depuis que je l'utilise (NDR : la méthode de lecture) et en parle autour de moi, elle suscite curiosité et intérêt au vu des résultats que j'en obtiens. Plusieurs collègues envisagent de se convertir à cette pédagogie. …./….
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4 décembre 2007 – Mme PF – maman d’un petit garçon en très grande difficulté après 9 mois passés en CP durant l’année scolaire 2006/2007 :
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« …./…. “après 9 mois passés au CP où « X » n'a rien appris d'autre que la conviction d'être nul et de ne "jamais arriver à lire", nous avons décidé de le sortir de l'école et de l'instruire en famille pour quelque temps. Votre méthode a fait des miracles. Il arrive désormais à lire, et à sa grande fierté, de façon fluide ! Tout cela après seulement 4 mois de travail régulier...d’environ 1/2 h par jour ! De tout coeur, merci...pour votre travail et la flamme revenue dans les yeux de mon fiston :-)”
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…./…. Je pourrais aussi ajouter à mon témoignage que son comportement, devenu très ombrageux durant l’année de CP (même s’il ne s’est jamais plaint de l’école, mais ressassait son sentiment d’échec et de nullité), s’est pratiquement instantanément amélioré. J’en conclus donc que c’était bien un signe de souffrance. Il a cessé de claquer les portes, de crier, de pleurer de rage, de nous menacer de “partir sur une autre planète”, de s’en prendre à sa petite soeur (alors qu’il a toujours été un enfant doux et gentil, et que son comportement était ce qu’on pourrait qualifier d’exemplaire à l’école) et s’est de nouveau alimenté correctement....il a, aussi, recommencé à grandir aussi. Ce n’est pas pour rien que je dis que nous revivons tous.../…. »
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2 décembre 2007 – Mme CA – maman d’une petite fille entrée en CE2 en septembre 2007 et résidant en Bourgogne.

../…Nous ne manquerons pas de continuer à promouvoir votre excellente méthode. A ce propos, nous avons rencontré le maître de notre fille qui est en CE2 samedi matin (NDR : le 1er décembre 2007) pour la remise en mains propres du 1er bulletin de l’année. « X » a, cette année, un maître très exigeant et très ambitieux.
Je tenais à vous faire part de ses résultats en français, sans la moindre intention de mettre en avant notre enfant. « X » est une enfant comme les autres.
J’ai appris à lire à « X » avec votre méthode pendant son année de Grande Section de Maternelle et j’ai enchaîné avec la méthode d’orthographe (1er niveau) que nous sommes sur le point de terminer.
Moy GRAMMAIRE : 19 (moy classe : 14,28)
Moy ORTHOGRAPHE : 18,6 (moy classe : 11,44)
Moy CONJUGAISON : 19,5 (moy classe : 14,37)
Moy EXPRESSION ECRITE : 14,75 (moy classe : 10,85)
Moy DICTEE et AUTODICTEE : 19,1 (moy classe : 11,19)
Commentaire : Le niveau de langue française est excellent. Le travail fourni est sérieux et régulier. "X" a le goût d’écrire et de lire ce qui va lui permettre de progresser rapidement notamment en expression écrite.
Je voulais vous faire partager ces résultats pour lesquels vous êtes en grande partie responsable. Ils ne font que refléter l’efficacité de vos méthodes.
Nous tenons particulièrement à vous remercier pour ces excellentes méthodes et leur souhaitons longue vie.
Sans aucun doute, notre fille n’est certainement pas un génie. Elle a simplement, grâce à vous, une tête bien faite ! …/ ….
26 novembre 2007 – Mme FE - maman d’Île de France – nous retourne le questionnaire se trouvant à la fin du livre du maître des méthodes autoéditées par Fransya. Nous le reproduisons dans sa totalité à titre d’exemple:

Enfant concerné : « X » , 5 ans, scolarisée en GSM durant l’année scolaire 2006/2007
Est actuellement (NDR : depuis la rentrée 2007) en CP

Date du début de l’apprentissage : fin mai 2006
Fin de la fin de l’usage de la méthode : 20 novembre 2007
Fréquence de l’apprentissage : journalier le plus possible
Temps passé lors de chaque séance ; 2 à 5 mn au début, 10 à 15mn à la fin

Résultats obtenus :
(à chaque question il doit être répondu par oui ou par non)

Caractéristiques de la lecture (qu’elle soit acquise ou en cours d’acquisition)
réponses
- rythme fluide : oui
- ponctuation respectée : oui
- intonation bien adaptée : oui
- compréhension du texte : bonne (le choix de réponse est ici : bonne, moyenne, médiocre, nulle)
- l’enfant peut résumer le texte lu : oui
- l’enfant a acquis (acquiert) le goût de lire : oui

Cette méthode vous paraît elle favorable à l’acquisition :
réponses
- de l’écriture : oui
- des premières bases de l’orthographe : oui

Réactions de l’enfant au cours de l’apprentissage :

réponses
- manifeste de l’intérêt pour cet apprentissage : oui
- aime son livre, le prend avec plaisir : cela dépend de l’humeur
- participe activement aux exercices : oui
(moteurs, sensoriels et de latéralisation)
- exprime son regret concernant l’absence d’images : non

Remarques des parents sur la méthode :

Bien, il n’y a pas de confusions de lettres. Claire est gauchère, elle avait tendance à lire à l’envers mais elle maîtrise très bien le « bon sens » et se reprenait seule quand elle inversait. Elle a juste un peu de mal avec le « b » et le « d » mais cela passe bien et elle se corrige seule. Elle sait aussi lire bien à l’envers, c’est étrange.
On commence fin novembre le niveau 1 pour l’orthographe (sa sœur de 11 ans l’a fait entièrement). Je suis très contente de cette méthode.
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25 novembre 2007 – extrait email de MJ – enseignante et membre d’une association Genevoise
« …/…. Je l'ai utilisée moi-même avec succès auprès d'un élève de 12/13 ans et une personne, membre de (NDR : le nom de l’association), m'a téléphoné pour me dire combien elle l'avait appréciée pour son fils de CP afin de combler les manques de l'enseignement de la lecture dans ce degré-là …/ … »
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17 novembre 2007 – extrait email de MJ – maman d’une petite fille de 4 ans1/2 de polynésie
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« Nous vous exprimons notre gratitude pour la qualité excellente de vos ouvrages concernant l'apprentissage de la lecture.
…/….
Depuis, nous avons reçu votre méthode qui reflète tout le soin incroyable (amour, savoir faire, compétences..) afin que chaque enfant puisse "apprendre à lire dans la sécurité de son bien-être", nous effectuons, selon vos directives, les exercices préliminaires à la lecture et elle les réalise dans la joie (compris graphismes) elle a souhaité apprendre à lire, nous allons doucement car elle est encore jeune, elle est maintenant à la page du « CH » aussi bien en écriture cursive et c'est elle qui nous demande "encore..." nous respectons la durée et sa lecture est fluide, elle ajoute un complément aux verbes et cette méthode lui plaît. Dans la journée, elle invente des chansons en ayant pour personnages "'ali et olivia" »…/…
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12 novembre 2007 - extrait email VF maman du Québec
"Je suis en train de terminer votre méthode de lecture avec ma fille et j'en suis vraiment très contente. Je souhaite commander la suite, c'est à dire "POUR BIEN APPRENDRE L'ORTHOGRAPHE" Niveau 1 ...."
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9 novembre 2007 – extrait email de FB – directrice d’école en Île de France

« ……..nos deux classes de CP ne travaillent qu'avec votre méthode …...
Merci de vos travaux qui permettent à tant d'enfants de bien apprendre ou réapprendre à lire».
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20 octobre 2007 – extrait email de ME – maman de deux enfants de 5 et 3,5 ans (Ile de France)

« Après lecture du 1er chapitre du manuel du maître, je suis agréablement surprise par tous les aspects pris en compte dans l'apprentissage. C'est très complet.Nous avons commencé avec l'aînée (5 ans) la première leçon sur les voyelles. Il s'agissait d'une révision (elle connaît déjà très bien ces lettres) et de "se faire la main" sur la méthode. Nous avons ensuite abordé l'apprentissage du "l". « C » est enchantée de pouvoir lire ses premiers mots (sans jouer aux devinettes à partir d'images comme c'est le cas avec d'autres méthodes). Avec le cadet (3 ans et demi), nous avons fait quelques exercices proposés pour son âge (lignes verticales, horizontales...). Cela semble également beaucoup lui plaire. Je me suis également rendu compte que côté "sons" et "différenciation sonore", les enfants sont déjà très familiarisés avec ces sujets :nous pratiquons beaucoup de musique à la maison ».
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11 octobre 2007 – extrait email de IE – Maman d’un petit garçon dyslexique sévère :
« Juste un petit mot pour vous dire que C a changé d'école, il est désormais dans une ambiance de classe studieuse avec une maitresse "à l'ancienne" exigeante, sympathique, très axée sur l'écrit et l'orthographe.
C est absolument transformé, il est gentil avec toute la famille, il est très désireux de travailler bien à l'école, il travaille volontiers le soir à la maison, il se concentre mieux... On ne le reconnait pas... Bien sûr, il lit lentement mais il parvient enfin à lire seul, il bute encore sur qq mots par moment car la dyslexie lui joue de temps à autre de mauvais tours. Je le retrouve le soir dans son lit en train de lire et il comprend tout à fait ce qu'il lit. Quel progrès immense !! Je sens bien que l'orthographe ne sera pas chose simple pour lui. Vous m'aviez prévenue!.
Nous parlons souvent de vous. Votre message du mois d'Aout lui a fait très plaisir.
Encore merci de vos conseils et de votre aide immense ».
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1O octobre 2007 – extrait email de NA – enseignante en midi pyrénées
Pour me situer, je travaille avec une classe d’adolescents gitans à côté de Toulouse, et j’utilise votre méthode de lecture pour la 3° année consécutive.
Je vous contacte car j’ai eu pendant 4 semaines un élève forain de 12 ans, B, qui connaissait quelques lettres mes ne savait pas du tout lire.
En 4 semaines, il a très vite appris car a compris très vite le système de déchiffrage, et comme il connaissait les lettres, c’est allé très vite, mais évidemment les sons un peu plus complexes n’ont pu être vus.
La maman qui est venu le désinscrire du collège hier, est venue discuter avec moi : en 5 ans d’école au gré des déplacements, son fils n’était pas très heureux en classe et n’arrivait toujours pas à lire, et là il a vécu un mois en se régalant au collège et ravi et fier d’arriver à lire un peu, et elle me demandait des conseils pour continuer à apprendre, même s’il retourne dans une école primaire où il va chaque année l’hiver (mais sans succès côté apprentissage de la lecture). Je lui ai montré le livre de lecture, et lui ai proposé d’en acheter un pour son fils. Je lui ai expliqué un peu comment faire (elle sait un peu lire, déchiffre pas mal du tout, mais est incapable de comprendre le livre du maître), elle m’a dit qu’elle était prête à faire l’investissement en voyant les progrès de son fils. Je lui ai donné votre n° de tel, elle vous téléphonera la semaine prochaine pour commander le livre élève (et non le livre du maître), Evidemment ça n’aura pas le même succès qu’avec un enseignant qui utilise toute la richesse de la méthode, mais B est très intelligent et volontaire, sa maman en veut aussi beaucoup (même si elle a peu de temps à lui consacrer), je pense qu’il peut s’en sortir avec l’aide de sa maman et le livre de lecture, même sans les activités ‘’annexes’’ si importantes.

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16 septembre 2007 – extrait email de SS – maman – Genève
… « Votre méthode (ndr: de lecture) m'ayant donné entière satisfaction, je souhaiterais commander maintenant votre méthode Fransya "Pour bien apprendre l'orthographe" Niveau 1 »…
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20 août 2007 – extrait d’un email de MLH – enseignante spécialisée en Bretagne :
« …. Votre méthode a donné de bons résultats pour les élèves déficients de ma classe spécialisée. Il faut seulement adapter le travail à leur rythme qui est très lent… »
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2 août 2007 – extrait d’un email de CR – Enseignante et Maman – Île de France
« … vous souhaite beaucoup de succès avec vos méthodes de lecture, méthodes que j’ai utilisées en tant que professeur des écoles et j’utiliserai maintenant en tant que maman … »
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13 juillet 2007 – extrait d’emails de AH, maître en CP dans une école publique d’Alsace à l’issue de sa première année d’utilisation dans sa classe :
../…. Tous mes élèves de CP sont lecteurs. Faute de temps je n'ai fait passer qu'une partie des tests de fin d'année (lecture : repérage du mot lu par le maître, écriture : dictée de mots et de phrases). Sans rentrer dans les détails, les résultats sont impressionnants.
Pour clore cette année scolaire et avant de prendre un peu de repos (plus que nécessaire), je vous envoie cette phrase d'un de mes élèves répondant à un collègue d'une autre école (lors d'une rencontre en forêt) qui lui demandait si le travail à l'école lui plaisait :
"Ce qui est bien avec mon maître, c'est qu'on apprend à lire pour de vrai dès le premier jour".
N'est-ce pas là une parole d'enfant qui fait plaisir ?
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4 juillet 2007 – extrait d’email de ND, maman de Rhône Alpes :
En début de CP, nous avons découvert sa méthode de lecture X Dès le début les élèves ont commencé par apprendre des phrases entières : "X est l'amie de la classe" puis "l'amie de la classe s'appelle X". (mal au coeur pour moi!!!)
Septembre passe, octobre aussi avec toujours des phrases entières à apprendre par coeur et impossibilité pour C de lire dans un livre "Papa va couper le bois".
Dès le 3 novembre (jour de son anniversaire !) nous avons démarré la méthode Y (20 mn chaque soir avant de lui lire une histoire) que j'ai trouvé en grande surface, parallèlement à M… qu'il ne faisait qu'en classe, et en janvier il décryptait tout. La maîtresse m'a d'ailleurs dit à cette période que C lisait bien par rapport au reste de la classe mais je n'ai rien osé dire !!!
J'ai quand même dit à une amie, dont la fille est dans la classe de mon fils, qu'elle devrait faire à la maison une méthode alphabétique, mais elle connaissait l'institutrice de CP en qui elle avait confiance, et m’a dit que les syllabes allaient forcément venir...Effectivement elles sont venues en mars, alors que les élèves avaient pris certaines habitudes globales.
Pour info, sa fille a été en soutien scolaire de lecture toute cette année de CE1 avec un maître E, et la vive recommandation de son instituteur de CE1, de lire chaque jour durant les grandes vacances !
Bref, après Y. j'ai ensuite commandé votre méthode, plus efficace à mon goût car sans image et plus moderne dans les textes.
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30 juin 2007 – extrait d’email de NH, enseignante en IDF
…./… Votre livre Bien parler, bien lire, bien écrire a été un bol d'air pur. Même en cycle 3, on observe les dégâts de cette méthode mixte surtout en ZEP, où les parents ne peuvent pas aider leur enfant ou si peu, faisant entièrement confiance à l'école …/….
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30 mai 2007 – extrait d’un email de YP, enseignante des Pays de Loire, utilisant la méthode dans sa classe GSM/CP depuis l’année scolaire 2003/2004
…./…. J’ai été inspectée le mois dernier (j’ai des GS.CP) et je viens de recevoir le rapport écrit ; j’ai les félicitations de l’inspecteur par rapport au niveau de lecture de mes élèves ! L’entretien s’était très bien passé et il est resté fidèle dans son rapport écrit. Tous ces beaux succès grâce à votre travail sur la lecture ; un grand merci ! …./…..
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23 mars 2007 – extrait d’un nouvel email de AH enseignant d’Alsace utilisant la méthode dans sa classe CP/CE1 depuis la rentrée 2006
…./….. Je peux vous dire aujourd'hui, que je suis très content d'avoir fait ce choix qui m'apporte pleine satisfaction. Je me sens en harmonie avec mes convictions. Et peut-être plus encore, je suis content du plaisir que prennent les enfants à apprendre à lire, et à écrire. Je confirme que l'absence d'images n'est en rien un frein pour l'attractivité de la méthode (ce ne sont que des allégations de profanes qui ne font pas l'effort de s'enquérir des richesses de cette méthode). Ce qui est également réjouissant pour moi, c'est le plaisir que prennent les CP à réciter les conjugaisons des verbes proposés dans les leçons (toute la série y passe à chaque fois pour ne pas faire de mécontents). C'est une très bonne préparation implicite aux "gammes" de la conjugaison française…./…...
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23 février 2007 – extrait d’un email adressé par FD, maman et enseignante dans l’enseignement public technique en Île de France :
…/….Une chose est sûre : votre méthode est « LA méthode » pour apprendre à lire et à écrire à un enfant. Parfaite. Je le constate tous les jours depuis plusieurs mois. Mon fils, à raison d'une demi heure par jour, avance à pas de géant, sans drame, dans la joie et la bonne humeur, à son rythme de surcroît. …/ ….
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19 février 2007 – extrait d’un email adressé par AD, graphothérapeute en Île de France :
Sans hésitation, je commande votre méthode de lecture ! Et je vous remercie très vivement de tout le travail fourni et effectué pour nos enfants ! J'ai lu votre dernier livre (ndr : Bien parler, bien lire, bien écrire) qui m'a passionné et que j'utilise avec mes propres enfants et ceux qui me sont confiés en rééducation d'écriture…/….
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16 février 2007– extrait d’un email de FLD, maman de la région PACA apprenant à lire à sa fille :
…/… J’ai commencé doucement avec ma fille, elle est fascinée et moi avec !!. Elle apprend doucement mais sûrement…../…..Le livre « bien lire… » est absolument passionnant…/…

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9 février 2007 – extrait d’un email de DC, maman d’une petite fille dysphasique :
…./ … Ma fille A, bientôt 12 ans, est dysphasique. Jusqu'à il y a un an, on ne lui faisait rien faire à l'école, la pensant incapable puisqu'elle ne s'exprimait pas. Son orthophoniste ne voulait pas non plus la mettre à l'écrit mais la traumatisait (en lui tirant les cheveux entre autres) en lui faisant répéter des mots inlassablement. J'avais prêté votre méthode à l'école qui me l'avait rendue sans commentaires par l'intermédiaire d'un autre enfant. C'était l'époque où le directeur avait trouvé bon de remplacer leur méthode syllabique par une méthode globale.
Il y a un an, elle a été déscolarisée pendant 2 mois parce que j'ai refusé une CLIS, j'ai commencé sérieusement à la faire travailler avec votre méthode (je lui avais appris les lettres avec des lettres rugueuses). Une maîtresse à la retraite a accepté aussi de la faire travailler avec votre méthode 3 fois par semaine, j'ai changé d'orthophoniste.
Nous avons presque fini le fascicule, ce qui a débloqué son langage. Les amis qui ne l'ont pas vue depuis longtemps sont impressionnés par ses progrès. Je ressens maintenant le besoin de lui apprendre les conjugaisons et la structure des phrases pour qu'elle puisse faire des phrases grammaticalement correctes. Elle a besoin de lire pour dire. …/….
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11 janvier 2007 – extrait de Message de P, parent en Ile de France utilisant la méthode pour un très jeune enfant.
Pour ma fille j’avais commencé l’apprentissage de la lecture en douceur avec la méthode « X » que je trouvais sympathique quoique désuète sur le plan de l’iconographie et du vocabulaire. La fille d’une amie lisant parfaitement sans du tout ânonner des livres de la bibliothèque rose, je me suis intéressée à la méthode avec laquelle elle avait appris à lire : Fransya. Je m’en félicite. A mes yeux ses intérêts :
- une progression très bien étudiée et douce, mais avec très rapidement de vraies petites phrases variées
- pas d’illustrations qui, finalement, éparpillent et fatiguent l’enfant
- de grosses lettres aisées à lire
- si on suit bien la méthodologie, une bonne acquisition synchronisée de l’écriture
Ma fille a quatre ans et demi ; elle aime lire dans « le grand livre » malgré l’absence d’illustrations et elle progresse bien. Il me semble qu’elle acquiert cette fluidité de lecture que j’avais remarquée chez sa camarade. Et, bien sûr, elle comprend tout ce qu'elle lit. Elle saura bien lire à la fin de la moyenne section, après un an et demi d'apprentissage, sans forcer. J'en suis TRES satisfaite : aucune méthode non alphabétique ne l'en aura empêchée

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20 décembre 2006 – email de AH enseignant d’Alsace utilisant la méthode dans son CP depuis la rentrée 2006.
…/…., je ne peux que vous faire part :
- du plaisir qu'ont les enfants à apprendre à lire. L'absence d'images n'entame en rien leur enthousiasme qui les conduit de jour en jour vers des bases de plus en plus solides.
- de la satisfaction que j'ai, d'avoir trouvé une réponse à un questionnement qui me taraudait depuis quelques années déjà avec jusqu'ici mon seul bon sens comme outil.
- du grand plaisir enfin, de la continuité de cet échange enrichissant qui ne se limite pas à la seule vente d'une méthode de lecture.
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9 novembre 2006 - email de FB enseignante et maman en IDF dont les enfants étaient en grande difficulté:
…/…. Merci pour vos méthodes avec lesquelles j'enseigne à mon fils de six ans, à ma fille de 12 ans, et à mes élèves de LEP. J'ai fini par déscolariser mes trois enfants, et nous faisons l'école à la maison en dépit du fait que je vis seule avec eux et que je travaille. Nous nous en sortons très bien, et même de mieux en mieux. Les résultats sont extraordinaires, et je vous dois beaucoup. …/….
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19 septembre 2006 - email de AE institutrice en PACA :
…./…. Etre responsable d'une classe unique m'a été quelque peu laborieux mais très enrichissant!
Et...votre méthode de lecture que j'applique avec bonheur,m'a beaucoup aidée.(Je devrais dire : nous a beaucoup aidées , puisque je suis à mi-temps).Ce qui fait que, malgré leurs réticences, les collègues ont pu apprécier et juger par eux-mêmes les résultats...
Je vous écrirai d'une façon plus détaillée très vite.
Alors OUI, nous continuons à appliquer votre méthode de lecture et aussi celle d'orthographe. ..Contre vents et marées!!!
Merci du fond du coeur. Croyez,Madame, en nos sentiments les meilleurs (et...admiratifs)
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17 septembre 2006 –email de MC Île de France
Je tiens à vous remercier des bons services rendus par votre méthode à nos enfants. Je viens de terminer l'apprentissage avec mon troisième enfant, et pour tous c'est très positif. Seule j’ai eu quelques difficultés, mais grâce à vos bons conseils (téléphonés), sa légère dyslexie semble ne plus être qu'un mauvais souvenir
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5 septembre 2006 - email de CR Rhône Alpes– papa d’une petite fille venant d’entrer en CE 1 :
Votre méthode a très bien fonctionné, j'ai mis 6 mois environ pour la faire entièrement (de janvier à juillet). Les résultats sont époustouflants ! Arrivée à Noël, ma petite ne voulait plus aller à l'école, totalement découragée. Alors qu’elle avait hâte de rentrer au CP pour apprendre à lire quand elle était en grande section…/….Je suis vraiment enchanté des résultats obtenus.
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29 août 2006 – lettre du 250806 de YP – enseignante en GS / CP dans une école des Pays de Loire.
/….. J’enseigne toujours en GS/CP avec votre méthode à laquelle j’associe « chants/gestes » de la méthode Jean qui rit. Les résultats sont toujours aussi spectaculaires ! Plusieurs élèves en difficultés sont suivis par des psychologues éducateurs….et aux réunions communes la question est : « comment avez-vous fait pour réussir à lui apprendre à lire ? » …../
7 juillet 2006 – email émis par MA C – Champagne-Ardennes :…/….Après une première prise de contact au mois de mars, et la commande de votre méthode d'apprentissage de la lecture pour mon fils en classe de Grande Section de Maternelle (rentrée en CP au mois de septembre) ; je dois vous avouer que je suis assez fière. Nous avançons bien, et malgré un début un peu rude (que le prénom d'O fut dur à déchiffrer !!!), A réclame quotidiennement son petit temps de lecture rien que pour lui. Nous en sommes à la page 75, et sa maîtresse trouvait qu'il commençait à bien se débrouiller. Difficile d'avouer !!!.../…
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15 juin 2006 : maman SS – Corse :
…/…. C’est une excellente méthode, très facile d’utilisation pour les parents. Elle permet à l’enfant d’apprendre sereinement, en toute confiance et beaucoup plus facilement qu’avec une autre méthode …/…
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3 mai 2006 émail de MG – Nouvelle Calédonie
…/…Bonjour, je suis directeur d'école en Nouvelle-Calédonie et mes collègues de CP utilisent votre méthode de lecture avec réussite et intérêt…/….
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27 février 2006 : Email de OD
.../… Institutrice, j’emploie la méthode de lecture du Dr Wettstein-Badour et ça marche avec tous les enfants même avec ceux qui ont des difficultés à parler et on rééduque ceux qui ont mal appris…./…..
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27/02/2006 - témoignage adressé durant une émission radio où l’invitée était GWB
…/….Je suis institutrice en CP et j’ai utilisé, malheureusement auparavant, la méthode semi-globale avec tous les inconvénients cités dans votre émission. Depuis que j’utilise la méthode du docteur Wettstein-Badour, c’est un véritable bonheur d’enseigner la lecture aux enfants et ces derniers prennent un véritable plaisir à apprendre à lire…/…..
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27/02/06 - email émis par AP, institutrice de la Loire
…/…. J’ai utilisé votre méthode d’apprentissage de la lecture pour trois mal-entendants. Ils avaient appris à lire avec la méthode globale et ils étaient en échec scolaire en CE1 et CE2. J’ai tout repris à la base avec votre méthode et maintenant ils poursuivent leur scolarité au collège tout à fait normalement grâce à vous ! Je tiens à vous en remercier tout spécialement…/…..
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24 janvier 2006/ email de GH – Normandie ( association bénévole de remédiation)
…./….Je tiens à vous transmettre les remerciements des enfants qui réapprennent à lire grâce à votre méthode. Actuellement je fais travailler 2 petits garçons de CE2 (avec leurs mamans) et je voudrais pouvoir vous faire parvenir leurs sourires. Des enfants cassés, déprimés, qui ont repris goût à l’école et à l’apprentissage. Des mamans enfin rassurées.
Malheureusement il reste encore tous les autres à aider et la tâche est souvent trop lourde quand je vois le désastre autour de nous.
Avec notre petite association, nous continuons à essayer de convaincre mais nous n’aurions jamais été aussi sûrs de nous sans l’appui de vos travaux…/….
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23/11/2005 email émis par une maman Mme A de Bourgogne
…/…« Je suis très satisfaite de la méthode de lecture avec laquelle ma fille aînée de 6 ans est en train d’apprendre à lire. J’apprécie notamment la richesse du vocabulaire, les premières bases d’orthographe incluses très tôt dans la méthode….Je ne manquerai pas de vous retourner le questionnaire dès que nous aurons terminé la méthode (aux environs de Noël je pense) Vous remerciant de tout ce qu’apportent vos travaux »…/…
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16/11/05 Email d’une orthophoniste de Paris
…./….« Cette méthode est superbe et je vous envoie mes patients ! »…/….
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2/09/05 email émis le 02/09/05 par une maman
…/…Ma Mère vous a commandé il y a 2 ou 3 années, votre méthode d’apprentissage de la lecture. Ma première fille, la plus grande, avait alors 4 ans. Je ne me sentais pas du tout la vocation de lui apprendre à lire, mais l’apprentissage incessant et presque unique du prénom en tant qu’image m’a effrayé (et énervé) dès l’école maternelle. Aussi me suis-je jetée dans le vide, heureusement soutenue par votre méthode à laquelle je me suis accrochée un peu perdue au départ…
J’ai la grande satisfaction et, tout de même, le grand étonnement, aujourd’hui et avec du recul, de trouver ma S. qui sait parfaitement lire et écrire à 6 ans, qui n’a jamais eu de blocage dans aucune leçon comme si toutes vos leçons « glissaient » sous le sens de l’enfant, qui n’a jamais rencontré de difficulté d’apprentissage à aucun moment de votre méthode, qui a parfaitement compris le mécanisme des syllabes et qui fait maintenant très très peu de fautes. Elle lit vraiment très bien même les mots les plus compliqués. J’ai fini entièrement votre méthode en 2 ans et je voulais absolument vous dire bravo pour votre travail fantastique !.../….
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7/6/05 email émis par MCM – Nouvelle Calédonie
…/…."Merci pour tout le travail que vous faites. J'ai une classe de C.P et suis ravie d'utiliser votre méthode le lecture, depuis un an. Encore MERCI pour tous nos élèves qui sauront enfin LIRE!"…/….